Le Guen vs Barbier : DSK déchaîne toujours les passions...
Jean-Marie Le Guen, passé dans le camp hollandais et passablement énervé, se prend le bec avec Christophe Barbier, à propos de l’interview de DSK au journal de 20h00 de TF1. Barbier, fâché d’avoir vu son journal rabaissé au rang de tabloïd, ne s’en laisse pas compter, lui qui avait déjà épinglé Dominique Strauss-Kahn en 2008 lors de l’affaire Piroska Nagy.
Christophe Barbier : « Il dit que c’est la fiche d’entrée de Nafissatou Diallo à l’hôpital. C’est pas du tout vrai, c’est un rapport médical ! »
Jean-Marie Le Guen : « C’est inexact ! Christophe Barbier n’aggravez pas votre cas ! (...) Monsieur Barbier vous continuez à mentir ! (...) Ne soyez pas de mauvaise foi ! »
Le Parisien : « Barbier à DSK : « Le vrai sujet n’est pas l’attitude de la presse, c’est la vôtre ». Le directeur de la rédaction de l’Express publie sur le site du magazine une lettre ouverte à DSK, qui qualifiait dimanche l’hebdomadaire de « tabloïd ». Il y rappelle notamment que son journal, s’attachant aux faits, avait été un des premiers à mettre en lumière le comportement « déplacé » de DSK avec les femmes lors de l’affaire Piroska Nagy. Christophe Barbier maintient avoir publié un véritable « rapport médical » et non une fiche d’entrée déguisée en rapport médical, comme le lui reproche Strauss-Kahn. « Vous en prendre à un journal ne changera rien : depuis quatre mois, le vrai sujet d’interrogation n’est pas l’attitude de la presse, c’est la vôtre », rappelle le journaliste avant de conclure sur la forme d’une invitation : « Puissiez-vous comprendre qu’il faut, pour servir (le) bien public, s’efforcer de faire aussi le bien en privé. » »
Ah, si seulement le Directeur de la rédaction de l’Express était Directeur du Figaro, il aurait répliqué de sa voix de baryton tel Figaro (Tito Gobbi) dans le Barbier de Séville (de Rossini - "Largo al factotum della città" - Il barbiere di Siviglia) !
Tags : Musique Télévision Journalisme Justice Médias Culture PS DSK Dominique Strauss-Kahn
9 réactions à cet article
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Qui peut penser qu’un homme de plus de 60 ans séduise une jeune femme de ménage et aît un rapport sexuel "consenti-précipité" avec elle le tout en moins de 10 mn ?
Si N. Diallo a varié dans ses déclarations, D. Strauss-Khan n’a-t-il pas commencé par nier tout rapport sexuel ?La journaliste de TF1 aurait du insister sur ces 2 points plutôt que servir la soupe à D Strauss-Khan en l’interrogeant sur la crise.-
la journaliste de TF1 ..................
c’est nouveau ils ont enbauché ?
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heureusement que la star faripoxe est là pour relevé le niveau
notre messie , firepaxe et son cas galactica
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cette émission est dingue on demande au saint dany le jaune ce qu’il pense de cette affaire et franchement ses réponses vallent le détour ......
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Vous copiez " largo al factotum della citta ", vous le collez sur google.fr, vous lancez la recherche, et le premier résultat qui s’affiche c’est justement la page wikipedia donnant la traduction en français.Essayez, c’est magique ! -
Sur le fond, cette affaire ayant été évacuée par la petite porte, intéressons nous à la forme. Trois choses :
- à partir de la 38’’, le son du micro de Barbier est fréquemment baissé, quand Le Guen intervient. Il y a des moments, ou on n’entend même plus ce qu’il dit. Ré-écoutez bien.
- A aucun moment le son n’est baissé pour Le Guen, même quand il se met à brayer
- Le Guen empêche Barbier de s’exprimer distinctement en lui coupant la parole. Et à aucun moment, le journaliste ne permet à barbier de développer ses arguments face à l’agressivité de son interlocuteur > résultat : Barbier abdict.
Technique du : "c’est celui qui gueule le plus fort qui a raison".
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D’où mon regret que Barbier n’ait pas une belle voix de baryton à la Tito Gobbi, pour remettre joliment en place le butor hollando-strauss-kahnien... -
En défendant l’indéfendable DSK, Lang et nombre d’autres socialistes, en se roulant ainsi dans la fange, font couler le navire PS.
Disons plutôt qu’ils portent l’estocade.Si bientôt la France se trouve confrontée à un deuxième tour Sarko - Le Pen, ils ne l’auront pas volé. Espérons qu’alors ils en assument les responsabilités et en tirent les conséquences en se faisant la malle.-
Quant à Le Guen, en l’écoutant 2minutes, on a en vie de prendre sa carte au FN.
L’image qu’il donne de la classe politique n’est rien d’autre que celle du "tous pourris, tous compromis".
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