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Ce vaccin qui est un POISON !
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- Le tableau donnant la liste des graves effets secondaires est très inquiétant : On
ne peut y distinguer les effets secondaires occasionnés chez les
personnes vaccinées de ceux observés chez les personnes ayant reçu le
placebo, y aurait-il quelque chose à cacher ?
- Comme attendu aucun effet secondaire n’est relié au vaccin par les investigateurs,
- Il y a une majorité d’effets secondaires graves chez les plus de 70 ans, CONTRAIREMENT à ce qui est écrit dans le titre et le résumé !
- La plupart des effets secondaires graves sont observés pour des participants dont les données sur l’injection de la deuxième dose ne sont pas communiquées : pourquoi ? La première dose aurait-elle provoqué des effets si préoccupants que la deuxième dose n’aurait pas été injectée ?
- En ce qui concerne les effets secondaires « bénins » attendus, on observe plus de réactions indésirables avec le vaccin qu’avec le « placebo » déjà très immunogène !
Cerise sur le gâteau, Astra-Zeneca vient d’admettre avoir
commis une erreur dans son protocole qui fausserait les résultats
mirobolants d’efficacité : une partie non négligeable des participants a
reçu une demi-dose de vaccin au lieu de la dose prévue ; comment faire
confiance à des essais aussi mal menés et aux publications officielles
qui en sont faites ?
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1- AstraZeneca
ChAdOx1, est un vaccin à vecteur adénoviral de chimpanzé, recombinant non répliquant. Risque indépendant du virus :
- l’ADN injecté peut dans des cas rares se recombiner avec l’ADN d’un
autre virus qui se trouverait dans une cellule où le vaccin est
injecté,
- Risque d’insertion de l’ADN injecté dans le génome humain,
- Risque de réactivation du virus de chimpanzé servant de vecteur,
- Risque de réaction immunitaire non spécifique due à l’injection d’un virus.
De nombreux effets secondaires ont déjà été décrits dans cet essai :
- Les essais ont été interrompus 3 fois de suite suite à la découverte d’effets indésirables graves pouvant être attribués au vaccin ;
- Le protocole a été changé en cours d’étude ce qui n’est pas acceptable d’un point de vue scientifique,
- Le placebo a été remplacé par un vaccin très immunogène , le vaccin anti méningocoque, connu pour provoquer de graves effets secondaires. (21)
- Le protocole précis n’a pas été rendu public : où est la transparence ?
- On ne sait pas comment est produit cet ADN ; On ne connaît donc pas sa longueur, laquelle peut moduler la réaction immunitaire.
2-Sanofi-GSK
Le protocole est totalement secret, il en est même question dans les médias, Ouest France et France Culture. Sanofi développe 3 types de vaccins, le plus avancé semblant être celui composé d’une protéine recombinante (la spike protéine) fabriqué à partir de baculovirus d’insecte, ce
vaccin sera adjuvanté par l’AS03 de GSK, soupçonné d’être responsable
des graves effets secondaires du Pandermix, vaccin contre la grippe H1N1
de 2009 (22). Cette technique à partir d’un baculovirus est récente et vient seulement d’être homologuée en Europe pour les nouveaux vaccins grippaux de 2020.
Sanofi travaille également sur un vaccin à ARNm (voir
ci-dessous) et sur un vaccin contenant comme vecteur le virus vaccinal
de la rougeole (atténué). Ce dernier vaccin pourrait cumuler les risques
du vaccin rougeole et ceux d’une réactivation du virus atténué suite
aux manipulations génétiques qu’il subira.
3- Janssen, Johnson & Johnson
Les essais ont été interrompus après un événement grave susceptible d’être attribué au vaccin (23). Ce vaccin utilise la technique d’un adenovirus humain rendu incapable de se multiplier chez l’homme.
Cette technique concerne des vaccins non utilisés en Europe (Ebola) ou pas encore approuvés (Zika, VRS, VIH)
Ceci n’est pas pour apporter la confiance du public comme le souligne Rebecca Chandler, experte en vaccino-vigilance auprès de l’OMS (25)
4- Pfizer
Il y a une incohérence dans le protocole Pfizer :
l’observation de effets secondaires graves est censée durer 6 mois
seulement alors que l’étude complète dure 2 ans, pourquoi ? De plus
Pfizer offrira le vaccin à tous les participants qui ont reçu le placebo
: comment alors distinguer les effets spécifiques du vaccin ?
5- Vaccins à ARNm, Pfizer, Moderna, CureVac
Les trois autres contrats signés par l’UE concernent des vaccins à ARNm
dont deux ont été très médiatisés (Moderna -contrat en cours de
négociation au 20 novembre- et Pfizer), le troisième est CureVac qui a
vu également vu monter le cours de ses actions en bourse suite à la
publication d’un preprint sur les essais.
Pourtant les effets secondaires immédiats semblent
plus graves avec ce vaccin qu’avec ses concurrents, possibilité
d’insertion dans le génome du vacciné de matériel génétique viral, si
rencontre avec un virus possédant une transcriptase réverse comme le
VIH. (24)
Citons également les risques liés à la présence de PEG
(polyéthylène glycol), utilisé dans les nanoparticules vectrices des
vaccins à ARNm (26). Il existe des anticorps contre le PEG chez 72% des
américains (27). Il se peut donc que cet adjuvant provoque des maladies auto-immunes. De plus c’est une molécule est toxique. (28)
6- Risques communs à tous les vaccins
Le protéome humain et celui des souris partage beaucoup
d’épitopes de la spike protéine (qui sont utilisés comme antigènes dans
les vaccins) : ceci pourrait provoquer des maladies auto-immunes. Il
existe également un mimétisme entre des épitopes de la spike protéine et
certaines protéines neuronales humains qui font craindre des maladies
auto-immunes neuronales (29)
Défauts prévisibles dans l’exploration
des effets secondaires dans les essais et dans la pharmacovigilance
post-commercialisation
Les effets secondaires seront classés par les investigateurs
comme étant reliés au vaccin ou pas, (30) Il faudrait que des experts
indépendants puissent avoir accès aux données cliniques brutes pour
pouvoir les contrôler. De plus l’annonce prématurée des premiers
résultats faramineux d’efficacité montre que les essais ont été
dévoilés, ne sont plus en double aveugle, et donc ne sont plus fiables !
Les experts désignés pour contrôler ne sont pas indépendants et leurs noms sont tenus secrets.
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LIEN ....... de l’ensemble de l’Article
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https://fr.sott.net/article/36350-Vaccins-anti-Covid-surs-et-efficaces-Avis-du-Conseil-Scientifique-de-la-HAS-ce-qu-en-a-fait-la-Commission-Europeenne