Politiciens médiatisés : La grande trahison
"Chaque polémique, chaque petite phrase, chaque déclaration choc, fait l'objet d'un abondant traitement médiatique... Et pourtant, les principales préoccupations des Français, et avec elles les réflexions sur la manière d'y répondre, semblent étrangement absentes des débats qui agitent la sphère politico-médiatique..."
L'équipe du Fil d'Actu :
Présentation : Tatiana Ventôse
Écriture : Tommy Lasserre
Réalisation : Yohann Delozier
Tags : Politique Prospective et futur Monnaie Crise financière Polémique Union européenne
9 réactions à cet article
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je ne viens pas ici pour "défendre mon" candidat mais pour montrer la confusion que je soupçonne volontaire que vous entretenez. Oui les politiques s’abstiennent d’être précis dans leurs propositions et se contentent de généralités , "je combattrais le chômage, je défendrais le pouvoir d’achat, je tiendrais compte du réchauffement climatique " etc.... Des vœux pieux en contradiction avec ce qu’ils ont fait depuis des décennies.
Toutefois vous faites un "paquet" de tous et ce n’est pas vraiment juste ou honnête. La politique ce n’est pas une personne mais un programme aussi précis que possible et soit vous n’avez pas regardé soit vous ne voulez pas voir que le mouvement de FI propose un vrai programme avec lequel on peut être ou pas d’accord, mais ce programme existe, tout le monde le sait. De plus il est chiffré, motivé, expliqué et largement diffusé (livre, débats, interviews...)
. Comme en 2017 il est prévu un chiffrage détaillé en direct.
Je ne vous demande pas d’être d’accord sur le programme et sa popularisation , ni d’apprécier celui qui sera le candidat pour espérer l’appliquer , JL Mélenchon, mais juste vous dire que cette critique généralisée des candidats ne devrait pas concerner la FI.
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@capobianco
Je ne suis pas susceptible d’être pro LFI, mais cette remarque est tout à fait exacte.
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@capobianco
Nécessité d’un petit éclairage, peut-être ?!?Si la candidature de J.-L. Mélenchon en 2017 m’apparaissait particulièrement porteuse d’espoir, et si certains des membres de LFI me paraissent toujours promis à un avenir politique brillant — Mathilde Panot et Adrien Quattenens tout particulièrement —, il faut convenir qu’alors même qu’ils étaient parmi les rares à soutenir la revendication citoyenne des Gilets Jaunes dès l’origine, ils ont bien "mal" évolué depuis.
Alors que J.-L. Mélenchon proclamait fièrement en 2017 son universalisme républicain, c’est maintenant la branche multiculturaliste et genrée — soit l’antithèse même de l’universalisme — de LFI qui, embrayant sur la radicalité d’un "wokisme" importé d’Outre-Atlantique, impose ses slogans, ce qui rend discours et profil fort peu lisibles.
De la même manière, il semble que LFI — pas plus d’ailleurs que l’ensemble des partis et médias "alternatifs" se réclamant de la "gauche" — n’ait compris la nature tyrannique dès l’origine du piège pandémique et "vaccinal" : si LFI s’est bien battu contre la confiscation par un Conseil de Défense des prérogatives parlementaires, et plus tard contre les mesures de contrainte et d’obligation "vaccinale" — jamais elle n’a porté de remise en question scientifique des fondements (et particulièrement celle des nombreuses thérapies alternatives parfaitement efficaces : hydroxychloroquine, azithromycine, Ivermectine, vitamines, zinc, ...) même de cette "pandémie" ainsi que de la perspective de son seul "salut vaccinal", sans quoi J.-L. Mélenchon ne jugerait pas utile de préciser lors de chacun de ses plaidoyers pour la liberté "vaccinale" que tous les députés membres de LFI sont bien "vaccinés", comme pour mieux — et fort stupidement — souligner leur "civisme" et leur "sens des responsabilités".
La campagne électorale ne fait bien sûr que débuter, mais on peut déjà trouver particulièrement regrettable qu’en ne se positionnant pas plus clairement et radicalement sur la nature même de l’actuelle tyrannie numérique et "sanitaire", LFI ait avec d’autres laissé tout le champ de la critique et d’un débat scientifique et politique pourtant nécessaire libre, l’offrant sur un plateau à l’UPR et surtout aux seules franges plus ou moins extrêmes de la droite.
A mon humble avis, ces deux erreurs se payeront cash dans les urnes, et je trouve cela bien dommage !
Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations !
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@capobianco
Le programme de la France Insoumise n’inclut pas un Glass-Steagall ni une monnaie publique. Il prévoit la nationalisation de la dette ce qui ne permet pas de développer le pays. -
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Tatiana Ventôse, vous êtes d’une mauvaise incroyable en mettant tout le monde sur le même bateau. LFI ne fait que mettre au premier plan les préoccupations premières des Français (pouvoir d’achat, retraite, Santé, salaires,etc.. ). Ne reprochez pas à Melenchon le traitement médiatique et son orientation, il n’y peut rien et vous le savez.
En fait vous ne valez pas mieux que ces médias que vous dénoncez en utilisant leurs méthodes pour discréditer qui vous arrange.Soyez honnête si vous voulez être crédible.-
@medmed : " les préoccupations premières des Français (pouvoir d’achat, retraite, Santé, salaires,etc..
Les préoccupations premières de Français c’est de mettre immédiatement fin au chômage et aux stages en créant plus de 6 millions d’emplois pour des Français, c’est la sécurité dans la rue, c’est la liberté de penser, d’exprimer ses opinions et de se soigner comme on veut, c’est l’immigration de masse qui submerge et défigure tout, c’est les persécutions administratives, policières, idéologiques. -
Comme elle est mignonne la petite gauchiste, j’ai regardé sa vidéo jusqu’au bout.
Elle pointe une contradiction intéressante du système. D’un côté les gens ont du mal à boucler leur fin de mois, c’est leur arcane à eux. De l’autre les politiciens ne veulent pas parler de pouvoir d’achat. Et ils ont bien raison.
Ils ont bien raison parce que le pouvoir d’achat c’est quoi ? C’est la capacité à acheter avec ce que l’on a. Donc pour augmenter le pouvoir d’achat, il faut soit augmenter les salaires, soit baisser les prix des articles de consommation.
Augmenter les salaires
C’est la première idée. Et commencer par augmenter les bas salaires, en fait le SMIC. Le SMIC est indexé sur l’IPC (indice des prix à la consommation) calculé par l’INSEE. Le problème, c’est que l’INSEE calcule un peu n’importe comment cet indice, comme l’a fort bien démontré l’économiste Philippe Herlin.
Donc oui c’est un fait, le SMIC est très très sous-estimé. Cela explique aussi les statistiques surprenantes diffusées sur le service public et relayées dans cette vidéo, suggérant que le pouvoir d’achat aurait encore augmenté sous le règne d’Emmanuel Macron, alors que les gens se rendent bien compte qu’il n’en est rien.
Une réelle réévaluation du SMIC sur la base d’un calcul sérieux de l’IPC se heurte cependant à deux difficultés. La première, c’est que si l’État raconte n’importe quoi au sujet des prix à la consommation, on ouvre la porte au fait qu’il interprète aussi n’importe comment les chiffres du COVID. Ce que suggère ici le statisticien Décoder l’éco.
Mais plus grave, ce mensonge sur l’inflation est capital pour l’État. Cela lui permet d’emprunter à des taux bas. Et de "rouler la dette" comme se complaît à le faire la gauche et aimerait bien aussi pouvoir le faire Marine Le Pen.
Baisser les prix
Baisser les prix on peut baisser les cotisations sociales, mais cela n’a de sens que pour les cotisations qui financent des choses moins utiles que les biens de consommation dont cela va faire baisser les prix.
Ou alors, la solution des mondialistes, faire des économies d’échelle en produisant à l’étranger, et en garantissant aux investisseurs que de toute façon même si on ne veut plus de leurs produits le contribuable français les payera quand même.
C’est le système du CETA, cher à Emmanuel Macron. Système qui aura tendance à se répandre au monde entier, du fait des mécanismes de l’OMC.
Donc elle est bien gentille la Tatiana Ventôse, mais au final elle fait plutôt campagne pour Macron, tout ça en utilisant de grands mots à la mode comme relocalisation, production en France, blablabla.
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Je la croyais un peu plus objective que cela la Ventôse. Déception totale quant à sa manière de mettre tous les candidats dans le même panier alors que Melenchon et la FI subissent un boycott évident dans les médias. D’autre part , soit elle n’a lu aucun programme , soit elle se plait à occulter cela afin de valider sa thèse erronée
selon laquelle aucun candidat n’aborde les vraies préoccupations des français ; chose à laquelle s’attèle exclusivement JL.Mélenchoin si on se donne pa peine de l’écouter sans préjugés.
L’extrême droite (RN + Zemmour) ne peut survivre sans créer la psychose et la peur , sans agiter la théorie du chaos , ce qui empêche le citoyen de toute forme de réflexion ou analyse objective.
La droite (LR +Centre +Démocratie chrétienne) n’a plus rien à proposer en dehors de l’immigration , l’insécurité et surtout l’islam , dans la mesure ou Macron a mis en application toutes les idées les plus droitières et qui sont le socle de la vision économique de cette droite, à savoir :
-Baisse pour ne pas dire suppression des impôts pour le capital et la caste des riches.
-2 seules réformes consistant à attaquer le système solidaire des retraites et celui du chômage.
-Désintégration des services publics ; santé , éducation , justice....
-Création d’antagonismes socio-économiques entre les différentes couches sociales et discrimination par le seuil de revenus.
Après tout cela , que reste-t-il à la droite en dehors de l’islam et de l’immigration ?
Peut-on qualifier cela de programme digne de diriger un état comme le France ?
A mon sens , il serait temps que les français commencent à ouvrir les yeux et les oreilles , à apprendre à faire la part des chose et surtout à distinguer le fallacieux du sérieux .
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