On trouve trace d’une production de captagon à but militaire d’abord en Bulgarie :
Pour la presse de Sofia, la Bulgarie s’est retrouvée, une fois de plus, au coeur d’un “scandale international”. Tous les médias relaient ainsi le contenu de plusieurs articles parus récemment et dont les auteurs disent avoir “percé le secret des djihadistes”.
La cruauté – tout comme la détermination – des combattants de Daech s’expliquerait par leur consommation d’une drogue interdite, le captagon. Et qui serait produite depuis 2011 en Bulgarie dans un “laboratoire de l’Alliance atlantique”, comme le précise l’agence officielle russe Ria Novosti. Le journal en ligne Tunisie numérique et l’agence de presse cubaine Prensa Latina vont dans le même sens.
https://www.courrierinternational.com/article/vu-de-bulgarie-aux-origines-de-la-potion-magique-de-daech
Puis au Liban
Captagon. « La douane française a saisi 750 000 comprimés de captagon, de la fénéthylline, en provenance du Liban début 2017. Cette drogue permettrait aux combattants de Daesh de commettre des atrocités.
https://reseauinternational.net/lotan-fabrique-la-drogue-des-djihadistes/
Enfin, on nous dit qu’elle serait produite en Syrie puis par le Hezbollah.
https://reseauinternational.net/la-bbc-blanchit-une-organisation-terroriste-pour-diffamer-le-president-syrien/
On ne s’y retrouve plus... Qui fournit les armes à la révolution Syrienne consommatrice de Captagon ?
L’OTAN, Israël et le Quatar donc ce sont eux qui leur fournissent les drogues qui aident les combattants qu’ils arment.
Le général Wesley Clark révèle que Daesh est un projet israélien : « Nos amis et alliés ont financé ISIS pour détruire le Hezbollah »
Et, lorsqu’ils les combattent parce que ce sont des relations malsaines alors ils cessent de leur en fournir.
Après, la drogue récréative est distribuée par les cupides tout simplement, voire les ennemis du pays qui les consomme.