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Joël Swendsen : Regard scientifique sur la psychanalyse

Les citoyens profanes ignorent généralement la différence entre psychiatrie, psychologie et psychanalyse. Cette dernière est omniprésente dans les médias, mais elle repose sur des principes et des concepts qui échouent au test de scientificité. Il est très difficile de trouver un chercheur en activité prêt à apporter une analyse scientifique de cette doctrine. La Tronche en Biais reçoit Joël Swendsen, professeur de psychologie et directeur de recherche CNRS à l’Institut de Neurosciences cognitives et intégratives d’Aquitaine.

Tags : Psychologie Psychanalyse Zététique




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3 réactions à cet article    


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    bob14 bob14 31 janvier 2018 06:28

    (Les citoyens profanes ignorent généralement la différence entre psychiatrie, psychologie et psychanalyse...)
    manque quelque chose ?
    L’étude du comportement qui pour des personnes avertis en dit bien plus qu’une analyse chez un Psy..mais pour cela faudra attendre 50 ans en France pour en voir le bout !


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      DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 1er février 2018 15:20

      Les Psy n’existaient pas il y a 200 ans ... A cette époque, quand un homme se sentait déséquilibré intérieurement, il se tournait vers Dieu pour mettre les choses au point ... Les prêtres étaient nos psys de l’époque, il se plaçait de manière transparent entre sa brebis et Dieu ... L’avantage du prêtre C qu’il travaille sur ton âme, cette partie profonde en toi ... Alors que le psy travaille sur ton esprit, qui est la partie superficielle de ton être ...


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        ged252 2 février 2018 10:23

        Voilà un exemple flagrant de ce que Lacan appelle Université en tant que :" Rangs consacrés de l’ignorance enseignante".
        .
        Le type américain définie la maladie mentale en temps que, (je ne sais plus très bien, j’ai écouté hier) chose qui perturbe, qui empêche d’avoir une vie normale, handicap social, et qui touche dit-il environ 50% des gens.
        .
         Après réécoute il dit à 8 Mn : troubles mentaux = intensité des symptômes, il faut que ça dure dans le temps. Il ne suffit pas d’avoir eut une mauvaise journée, d’être déprimé, anxieux, il faut que ça dure dans le temps et qu ce soit un handicap.
        .
        Sa définition n’est pas pertinente, la dernière fois j’ai donné les définitions de psychose et de névrose, est-ce que quelqu’un à noté, ou s’en souvient ? Si la réponse est non, alors pourquoi ne vous en souvenez-vous pas ? Ne pas s’intéresser à la vérité ou l’ignorer quand on vous la dit, est un indice de folie, hein ... smiley
        .
        Donc névrose : Maladie nerveuse dont le sujet à conscience et dont il souffre.
        Psychose  : Maladie psychique dont le sujet n’a pas conscience et dont il ne souffre pas.
        .
        Vous voyez le problème ? Non évidemment !
        .
        Comment le psychosé ( personne souffrant d’une psychose) saura-t-il qu’il est psychosé si par définition il n’a pas conscience d’être malade et ne souffre pas ?
        ..... Alors il faudra que quelqu’un le lui dise, et en général, ce sera ou quelqu’un de sa famille, ou quelqu’un de son entourage, ou bien à l’occasion d’un crime, souvenez-vous du cas Aimée, qui poignarde sans raison une actrice, et qui tient des propos incohérent par la suite, propos qui l’envoie à l’asile. Ou bien ce seront des gens qui commettront des série de délits et qui auront affaire aux services sociaux.

        Voyez aussi les pervers narcissiques qui pensent être des gens normaux.

        ..
        Donc voilà, les fous n’ont pas conscience d’être des fous. tous les gens de gauche sont des fous, soit 50% de la population française, et peut-être 15 % des gens de droite. Total = 65%. Soit le totalité des gens qui ont voté Macron, et non pas ceux qui ont voté Le Pen smiley

        .

        Mais vous voyez encore le problème, le problème qui tient à la définition elle-même du psychosé, définitions qui ne sont pas connues du grand public, on se demande pourquoi ?

        .

        C’est que si le psychosé n’a pas conscience de souffrir d’une psychose, et pense au contraire être normal, comment le docteur, le psychologue, le psychanalyste, saura-t-il lui s’il n’est pas fou lui-même  ?

        .

        Qui va définir qui est fou et qui ne l’est pas ? Et comment définira-t-on la normalité ?



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