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Accueil du site > Actualités > Santé > Les fake news des officiels de la Santé : Quand ils nous mentent (...)

Les fake news des officiels de la Santé : Quand ils nous mentent délibérément

Le débat sur les vaccins et la toxicité de l’aluminium est interdit par les autorités liées à l’industrie pharmaceutique ? Le corps médical en parle ouvertement avec des faits et des études précises.

Tags : Vaccins Santé menacée Manipulation




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24 réactions à cet article    


  • 1 vote
    Croa Croa 3 février 2018 19:13

    Encore un complotiste !
    Et un fadaise absent de la liste du sondage ! Mais puisque on vous dit que tout est fait pour votre bien !


    • vote
      edwig 3 février 2018 22:10

      Ce qu’il y a d’hallucinant, c’est que ça fait un moment qu’on se pose des question sur l’aluminium dans les vaccins et qu’ils continuent tout de même de farcir les vaccins avec !?
      La question c’est : Puisqu’il n’est pas fondamental de mettre de l’aluminium dans les vaccins ? pourquoi continuer de l’utiliser malgré les doutes ? Pourquoi ne pas simplement s’abstenir ?


      • vote
        Belenos Belenos 3 février 2018 22:19

        @edwig
        "Puisqu’il n’est pas fondamental de mettre de l’aluminium"

        Il semblerait que si, justement. 


      • vote
        Belenos Belenos 3 février 2018 23:55

        @Zatara
        Etant donné que l’aluminium a mauvaise presse et que son remplacement par un autre adjuvant pourrait faire gagner des parts de marchés aux industriels pharmaceutiques, ainsi que leur éviter de payer de grosses sommes pour influencer l’opinion publique, alors on peut en déduire que l’aluminium ne doit pas être si facilement remplaçable que ça. Ce sont peut-être de froids financiers sans âme mais pas des débiles. Hypothèse : peut-être savent-il déjà que les adjuvants de remplacement se révéleront aussi problématiques (ils seraient bien placés pour le savoir avant tout le monde).  


      • vote
        Belenos Belenos 4 février 2018 00:18

        Oups, l’orthographe passe à la trappe quand on tape trop vite. 

         "parts de marché" et "savent-ils"


      • vote
        Belenos Belenos 4 février 2018 01:25

        @Zatara
        Je ne vois pas de rapport entre vos réponses et conseils de d’informations et mes commentaires. Je suis déjà informé des problèmes que pose l’aluminium, pas seulement dans les vaccins, évidemment.  


      • 1 vote
        Belenos Belenos 4 février 2018 01:41

        @Zatara
        "déduction alambiquée..."

        Que proposez-vous alors comme meilleure réponse à la question initialement posée ?

        Hypothèse : 

        1. Vous êtes actionnaire majoritaire ou PDG d’une entreprise qui produit du vaccin à l’aluminium.

        2. La présence de l’aluminium dans vos produits et dans ceux de vos concurrents inquiète le monde entier.

        3.Vous pouvez remplacer l’aluminium par un adjuvant présentant les mêmes avantages et beaucoup moins ou pas du tout d’inconvénients. 

        Que faites-vous ? 

        Réponse 1 : Je continue à produire des vaccins à l’aluminium et j’attends que mes concurrents fabriquent des vaccins sans aluminium car je suis fou ou con et je veux couler mon entreprise tout en passant pour un empoisonneur.

        Réponse 2. Je crée des vaccins sans aluminium et je prends les clients de mes concurrents, en me réjouissant de l’avancée des travaux montrant la toxicité de l’aluminium dont mes produits sont désormais exempts. 


      • 1 vote
        Croa Croa 4 février 2018 09:25

        À edwig

        S’abstenir est impossible, il faut un adjuvant. Ils pourraient revenir au calcium à la place de l’aluminium mais c’est plus cher je pense.


      • vote
        Belenos Belenos 4 février 2018 12:23

        @Zatara 4 février 01:57

        Votre réponse n’a une nouvelle fois aucun rapport avec mes remarques. Apparemment, vous les survolez sans les lire. 


      • vote
        Belenos Belenos 4 février 2018 12:37

        @Croa
        "mais c’est plus cher je pense."

        C’est en effet une explication logique. Mais, à un moment, faire passer la pilule de l’aluminium va commencer à leur coûter cher aussi en communication et pots de vin. 


      • 1 vote
        sirocco sirocco 4 février 2018 13:02

        @Belenos

        "Que faites-vous ?"

        Réponse 3 : Je continue à produire des vaccins à l’aluminium qui me procurent de confortables bénéfices. Tous les grands médias me sont acquis et grâce à leur coopération je persiste à enfumer l’opinion publique en lui faisant croire (comme le fait Mme Buzyn) qu’aucun accident grave n’a jamais été relevé depuis des décennies et dans le monde entier qui soit imputable aux sels d’aluminium injectés. C’est facile pour moi : il suffit de taire toute information relative à ces accidents et de discréditer toute étude démontrant la dangerosité de ces sels.


      • vote
        Belenos Belenos 4 février 2018 13:25

        @Zatara
        "déduire que l’aluminium est indispensable sur la seule base du statu quo, et puis quoi encore..."

        Et puis encore tout ce que vous imaginez, puisque ceci sort de votre imagination personnelle et non de mes propos. 


      • vote
        Belenos Belenos 4 février 2018 13:30

        @sirocco
        "Réponse 3 : Je continue à produire des vaccins à l’aluminium qui me procurent de confortables bénéfices." 

        C’est valable tant que l’utilisation de l’aluminium me fait faire plus d’économie en coût de production... que la mauvaise réputation de mes produits ne m’en coûte en communication et falsification des données. 


      • vote
        ELAA 6 février 2018 14:12

        @Belenos

        Bonjour, vos réflexions sont sensées... parce que vous raisonnez avec votre conscience et votre bon sens. Ce n’est pas le cas de l’industrie pharmaceutique.

        Il faut bien comprendre que les entreprises de l’industrie pharmaceutique ne sont pas concurrentes. Elles travaillent main dans la main (par exemple, GSK a sorti le Cervarix et Merck le Gardasil, mais GSK possède aussi des "droits d’auteurs" sur le Gardasil et vice versa.) Elles sont également liées aux autres industries, toutes actionnaires les unes des autres (vous comprenez mieux pourquoi tous les médias leur sont acquis).

        Pour l’aluminium, toutes les entreprises ont fait ce choix, elles sont dans le même bateau, pour la simple raison que l’aluminium est l’élément le plus rentable : il n’est pas cher, très répandu sur terre, utilisé dans toutes les industries (agro-alimentaire, cosmétique, industries lourdes...) et surtout très efficace (= très pro-inflammatoire) dans les vaccins.

        C’est un scandale aux implications absolument énorme, donc il est improbable qu’il éclate. L’industrie pharmaceutique est la plus rentable des industries, bien plus que le pétrole, et en grande partie grâce aux vaccins (qui ne sont pas génériquables, contrairement aux autres médicaments).

        Du coup, une entreprise ne peut pas dire, seule "j’arrête l’aluminium", c’est impossible. Qui plus est, la nocivité de l’aluminium n’est toujours pas reconnue, donc rien ne presse. 

        De plus, changer l’aluminium coûterait en effet cher : il faudrait à nouveau procéder à des tests cliniques qui, pour la première fois, s’effectueraient sans placebo adjuvés à l’aluminium : on découvrirait alors que les effets secondaires sont bien moindres, et qu’ils sont de facto dus à l’aluminium, et non aux antigènes du vaccin. Le pot aux roses seraient enfin dévoilés... et l’implication des agences sanitaires aussi, parfaitement complices de la situation, en toute connaissance de cause (conférence de Simpsonwood, aux USA en 2000...)

        Il est absolument inévitable de remplacer l’aluminium des vaccins, et les labos s’y préparent, mais en attendant, il s’agit d’accélérer le processus (par les diverses obligations imposées à de nombreuses populations). Ils ne doivent pas perdre d’argent. Les bénéfices qu’ils feront ces prochaines années paieront pour les essais cliniques et les changements industriels absolument inévitables (mais quand ???) d’autant que la nouvelle génération d’adjuvants nanométriques arrivent.


      • 1 vote
        janequin 4 février 2018 08:06

        Ce n’est pas si simple que cela de passer de l’hydroxyde d’aluminium au phosphate de calcium.

        En effet, le but de l’adjuvant est de mobiliser les lymphocytes au point d’injection pour qu’ils puissent y rencontrer l’antigène vaccinal et fabriquer des anticorps. Sans adjuvant, ces lymphocytes ne se déplacent pas et la quantité d’anticorps est minime.

        L’adjuvant provoque donc une véritable réaction inflammatoire au point d’inoculation.

        Pour qu’il soit efficace, il faut que cet adjuvant soit étranger à ce que les lymphocytes connaissent déjà. Le phosphate de calcium Ca3(PO4)2 est stable à pH basique, et au pH physiologique se transforme en hydrogénophosphate de calcium CaHPO4 qui lui est bien connu des lymphocytes puisqu’il s’agit du constituant essentiel des os. Donc l’action inflammatoire du phosphate est très fugace.

        Par contre, l’hydroxyde d’aluminium AlO(OH) est un adjuvant de choix : c’est un étranger pour les lymphocytes et il est totalement stable et insoluble au pH physiologique (voisin de 7).

        Là où le bât blesse, et on peut comprendre cela à la lecture de cette communication de l’académie de médecine page 6 :

        http://moodle.univ-lille2.fr/pluginfile.php/75073/mod_resource/content/2/adjuvants%20vaccinaux%20rapport%20Acad%20Med1.pdf

        c’est qu’elle prétend que l’hydroxyde d’aluminium est soluble dans les acides lactique, malique et citrique. Ce qui est doublement faux.

        D’abord parce que ces acides n’existent pas sous cette forme à pH physiologique : ils sont déprotonés et on parle alors de lactate, malate et citrate.

        Ensuite, ce sont des ligands à champ faible, incapables de rompre les liaisons Al - O très stables de l’hydroxyde d’aluminium.

        Il est donc évident que les petites particules d’hydroxyde d’aluminium injectées vont soit demeurer au point d’injection, soit, si elles se retrouvent dans des veines pas trop fines, pouvoir être réparties par le flux sanguin dans n’importe quelle partie du corps, où elles peuvent alors être bloquées (puisqu’elles sont insolubles, mais encore trop grosses) dans les artérioles très fines, par exemple celles du cerveau, où le flux sanguin peut alors être interrompu ce qui provoque la dégénérescence cellulaire.

        C’est de la simple mécanique. mais on peut aussi inférer que dans ces artérioles, il va y avoir mobilisation de lymphocytes qui vont y perpétuer une réaction inflammatoire morbide.


        • vote
          le celte 4 février 2018 12:58

          @janequin
          Et là, vous parlez uniquement d’adjuvants liés aux vaccins, je ne vous dit pas le paquet d’adjuvants se trouvant dans les bases d’autres produits de consommations ! Un amalgame de produits qui, même mesuré homéopathiquement, peuvent par association créer des dégénérescences irrémédiables du métabolisme. Les guerres de concurrence des labos se retrouve dans nos cellules !


        • vote
          le celte 4 février 2018 13:46

          @le celte
          Ouïe ! "dis" - "consommation" - "mesurés" - "se retrouvent", je n’ai pas pris mon médoc !

          J’en profite aussi pour vous informer que d’après la NAS (National Academy of Sciences), les personnes vaccinées émettent 630% plus de particules virales dans l’air que les non-vaccinées....je vous laisse en déduire les conséquences.



        • 1 vote
          njama njama 5 février 2018 11:39

          Le professeur Romain Gherardi... répond aux questions de « L’Obs ».

          Serait-il possible d’utiliser d’autres adjuvants ? Comment faisait-on avant l‘aluminium ?

          En France, jusque dans les années 80, l’institut Pasteur a refusé l’aluminium, il utilisait du phosphate de calcium. On en a dans les os, l’organisme est « équipé » pour le tolérer. Mais quand les laboratoires Mérieux ont racheté l’institut Pasteur dans les années 80, les vaccins Pasteur sont passés à l’aluminium. Alors même que leurs vaccins au phosphate étaient d’excellente qualité.

          Pourquoi ce choix du tout-aluminium ?

          J’ai rencontré le comptable de l’institut Pasteur de l’époque. Il m’a expliqué qu’une dose de vaccin avec du phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium. De plus, pour obtenir l’immunisation, avec le phosphate, on n’avait besoin que de deux injections alors qu’il en fallait 3 avec l’aluminium. Mérieux a dit : « On préfère vendre 3 vaccins plutôt que 2 ». Il faut comprendre que la politique vaccinale est très déterminée par des intérêts financiers...

          source : Vaccins : « Nous ne savons pas grand-chose sur les effets de l’aluminium »
           L’Obs > Santé 24 sept. 2017



          • 1 vote
            njama njama 5 février 2018 11:45

            adjuvants vaccins
            hydroxyde d’aluminium vs phosphate de calcium

            « J’ai rencontré le comptable de l’institut Pasteur de l’époque. Il m’a expliqué qu’une dose de vaccin avec du phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium »
            Il y a fort à parier que une troisième dose de vaccin coûte bien plus que 30 centimes de francs - en valeur constante 1980 / 2016 = 0.13 €uro selon un convertisseur Insee - .
            Pour les comptes de la sécu déjà très mal en point, à efficacité égale il vaudrait mieux 2 vaccins que 3, ça ne se discute pas !

            Pour la santé des enfants, à efficacité égale, et pour une toxicité moindre avec le phosphate de calcium, il vaudrait mieux 2 vaccins que 3, ça ne se discute pas !

            Question : pourquoi donc l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), le CTV (Comité technique des vaccinations), le ministère de la santé valident les vaccins contenant des adjuvants aluminiques à l’efficacité moindre, à la toxicité supérieure, et donc plus coûteux ? plutôt que de contraindre l’industriel à les fournir avec l’adjuvant phosphate de calcium.

            Avis scientifiques ou corruption ?




          • 1 vote
            njama njama 5 février 2018 11:52

            4. Le changement d’adjuvant s’est déjà produit : l’exemple des vaccins IPAD

            Comme nous l’indiquions supra, l’Institut Pasteur avait mis au point, au début des années 1970, des vaccins adsorbés sur phosphate de calcium (vaccins dénommés IPAD = Institut Pasteur ADsorbés sur phosphate de calcium), face aux risques présentés par les sels d’aluminium.
            En 1985, la branche vaccins de l’Institut Pasteur, Pasteur Production, fut rachetée par l’Institut Mérieux, donnant naissance à Pasteur Vaccins.
            [...] Marc Girard (directeur scientifique en 1985 de Pasteur Vaccins - fruit de la fusion Pasteur / Mérieux) précisait que les critères économiques avaient prévalu dans cette volonté d’imposer l’aluminium comme seul adjuvant (30) : « Avec l’arrivée de Mérieux, si vous voulez, les choses sont devenues beaucoup plus professionnelles. (...) c’était des industriels, c’est là où, dans un souci de rationalisation, l’Institut Mérieux a dit « écoutez, on laisse tomber le phosphate de calcium, tout le monde fait de l’hydroxyde d’aluminium. » (...) Dans une industrie, c’est toujours plus compliqué d’avoir différents produits qu’il faut mélanger, pas mélanger, éviter de mélanger, etc. C’est plus simple d’avoir une ligne unique. »

            source  : pages 10-11 Le Dossier Intégral Phosphate de calcium : une alternative aux sels d’aluminium septembre 2015

            https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/09/Le-phosphate-de-calcium-Une-alternative-aux-sels-daluminium.pdf


            • 1 vote
              njama njama 5 février 2018 11:53

              hydroxyde d’aluminium vs phosphate de calcium

              extrait page 10 :

              3. Le changement d’adjuvant est une modification mineure
              La Commission Européenne énonce dans sa directive de 2005 sur les adjuvants dans les vaccins à usage humain que, pour procéder au changement d’adjuvant dans un vaccin déjà autorisé, il n’est pas nécessaire de refaire l’ensemble des études cliniques.


            • 1 vote
              njama njama 5 février 2018 11:54

              extrait page 11 :

              Les choix raisonnables de l’Institut Pasteur n’ont ainsi pas résisté au « réalisme économique ».

              « Nous avons regretté que lors de la fusion Institut Pasteur-Institut Mérieux, le vaccin de ce dernier, sur aluminium adsorbé, ait été préféré aux vaccins Ipad sur phosphate de calcium pour des raisons politiques, même si les vaccins Ipad faisaient 40 % du marché aussi bien en France qu’à l’export  », déplore ainsi le Dr Jean-Paul DAMAS, lauréat de l’Académie nationale de médecine et ancien interne de l’hôpital de l’Institut Pasteur. Une analyse partagée par le Dr Louis LERY, de l’Institut Pasteur, dans une lettre adressée à la Sous-Direction des Affaires scientifiques du ministère des Affaires sociales le 29 septembre 1987 (31) :
              « (...)les publications portant sur les effets toxiques ou les effets indésirables de l’aluminium et de l’hydroxyde d’alumine sont de plus en plus nombreuses, d’année en année. Cet élément pousse ainsi à préférer des produits adjuvantés avec un autre sel minéral comme le calcium, composant habituel de notre économie générale. Récemment, en juillet dernier, l’administration américaine a pris des positions nettes concernant les allergènes retard contenant de l’hydroxyde d’alumine. »

              Malheureusement, ces alertes des chercheurs de l’Institut Pasteur ne furent pas entendues.


            • 1 vote
              njama njama 5 février 2018 19:53

              Le professeur Alain Fischer et Mr Yves Levy directeur de l’INSERM emmènent les français en bateau ...

              VIDÉO 11’17 Dr Luciia TOMLJENOVIC : « L’aluminium a été commercialisé simplement en supposant qu’il était inoffensif »

              Le Professeur Lucija TOMLJENOVIC est Docteur en biochimie, Chercheuse au Neural Dynamics Research Group de l’Université de Colombie-Britannique, Vancouver (Canada), Rédactrice en chef adjoint de Journal of Alzheimer’s Disease.
              --------------------------------------
              Le Dr Nathalie GARÇON, spécialiste des adjuvants pour GlaxoSmithKline en 2002 :

              « En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour usage humain, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l’aluminium arrivait maintenant, il ne serait pas accepté. » (source : page 220 de ce document officiel)

               
              DR. GARCON : Actually, the adjuvant, the only one that is licensed for human use, is the one which is the most empirical. I mean, nobody knows how it works, nobody knows the biodistribution. I mean, it has really not much known about this one. It’s for the new one for which, I agree, you have to attempt for better characterization. Actually I believe that if alum * was coming now, it won’t be accepted.

              * l’origine l’alun (alum en anglais) qui servait d’adjuvant pour les vaccins

              Alum was the major adjuvant used to increase the efficacy of vaccines, and has been used since the 1920s.[19] But it has been almost completely replaced by aluminium hydroxide and aluminium phosphate in commercial vaccines.[20]

              https://fr.wikipedia.org/wiki/Alun
              https://en.wikipedia.org/wiki/Alum#Medicine



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