Finir à la rue ? Avec Emmanuel, SDF depuis 18 mois
Alertée par un courriel envoyé à notre rédaction, VA+ est allé à la rencontre d’Emmanuel, sans-domicile fixe depuis 18 mois. Tombé dans la misère suite à une succession de revers de la vie, Emmanuel mène un combat quotidien pour ne pas perdre sa dignité malgré sa condition plus que précaire. Son rêve ? Trouver un logement pour repartir de zéro.
Tags : Précarité SDF Lobby Immobilier
7 réactions à cet article
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il n a qu a se coller une étiquette " MIGRANT " et il y aura tous les droits
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@mmbbb
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« La misère c’est devenu un Business . Les autres SDF sont considérés comme des chiens, des sous-hommes , alors que ceux qui viennent de l’étranger et ne parlent pas la langue ont des revenus , des logements »
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Tout est dit ! ........ et après ça , t’as des cons de Bobo-Gauchisant qui te dirons ...... " Pourquoi les gens deviennent racistes ? "
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Le Système Politico-Médiatique-Financier fait tout pour !
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Super vidéo ! Un témoignage édifiant et malheureusement réaliste.
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Comme j’ai pu l’entendre dans l’entrevue, les indépendants ou intermittents travaillant dans les métiers de l’Art et du divertissement non subventionné sont les premiers touchés par la crise. Si actuellement la plupart ont encore des notions de précarité pour l’avoir souvent côtoyée dans leur démarche et leur parcours professionnel, les prochains, sans expérience, risquent de ne pas passer le prochain hiver.
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@LUCA
Pour le divertissement, on a déjà le cirque de l’assemblée nationale avec des clowns plutôt bien payés et les joueurs de pipo du gouvernement, alors tout le reste est superflu. Faut faire des économies et tout donner pour l’Ukraine et contre le réchauffement climatique, tout en accueillant la population du continent africain. Rien d’autre n’est important.
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@Gaspard Delanuit
L’Art n’est pas complètement absent dans tout cela, l’art de nous prendre pour des jambons par exemple !
Vous avez raison, on se demande d’où peut bien provenir une idéologie aussi conne, celle visant à insuffler politiquement l’ "ordo ab chaos". -
Apparemment ceux qui financent le DALO financent le remplacement des autochtones par des migrants ; donc le DALO travaille pour Soros et cie. ; si c’est avec nos impôts c’est le jackpot pour les mondialistes .
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