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"La société culpabilise les femmes"

Jeannine Mossuz-Laveau, auteur de La guerre des sexes stop, vient parler des inégalités hommes-femmes au micro de David Abiker.

Tags : Femmes




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3 réactions à cet article    


  • 1 vote
    bubul01 29 décembre 2010 15:56

    Elles se croient malignes les féministes à accuser les hommes de tout mais pourquoi elles ne parlent pas alors de l’origine de ces violences, que les hommes battues par leurs mère battent ensuite les femmes ? Veulent-elles protéger les mères représentées par les femmes ? Avec une interview comme ça, les mères maltraitances vont s’en donner à coeur joie pour utiliser leurs enfants (spécialement les garçons) comme boucs émissaires.

    Moi j’ai surtout remarqué que nombre de mères élevant leurs enfants ne veulent surtout pas renoncer à leur pouvoir sur leurs enfants... Je crois qu’il faudrait tout de même séparer la femme et la mère, qui sont deux aspects de la vie très différents. Je veux dire, et l’enfance dans tout ça et si c’était pas la société ou les hommes les fautifs mais l’éducation donnée aux enfants par les parents (l’influence des parents), que les féministes n’accusent jamais de rien d’ailleurs...

    C’est incroyable qu’on donne la parole à ce genre de personnage, pourquoi n’est elle pas accuser de racisme envers les hommes, parce que son discours sur les lave linge ou les pâtes, on peut l’appliquer à l’inverse aux femmes envers les travaux de bricolage, de force ou les réparations de voiture...

    http://alice-miller.blogspot.com/2010/10/le-feminisme.html

    A propos d’un cas d’infanticide en Allemagne : "Ces meurtres sont l’effet des conditions sociales rudimentaires et peu civilisées du deuxième Etat allemand, où cette femme a grandi, affirme un homme politique, tandis que d’autres s’indignent de ces déclarations. Un scientifique et ex-ministre réclame une enquête sur les conditions de vie des enfants dans l’ex-Allemagne de l’Est, peut-être plus dangereuses que dans la partie occidentale. Il ne manque plus qu’une déclaration féministe disant que cette malheureuse femme a tué parce qu’elle vivait sous le patriarcat, sans quoi elle n’aurait jamais fait une chose pareille.Tout le pays est visiblement troublé : que se passe-t-il dans notre belle société si propre, si ordonnée, si merveilleuse ? Un crime, et surtout un meurtre d’enfant, est-il concevable dans de telles conditions ? Cela peut-il réellement se produire ?""


    • 3 votes
      ffi 29 décembre 2010 20:22

      S’il n’y avait que les femmes qui étaient culpabilisées par la société...
      .
      Ces discours opposant hommes et femmes n’ont aucun sens. Les hommes et femmes sont complémentaires. Chacun hérite des qualités propres à son sexe et il est naturel qu’il veuille faire bénéficier à la famille de ce à quoi il est potentiellement le plus apte (ouvrir les bocaux, par ex).


      • 1 vote
        poetiste 2 janvier 2011 21:18

        Il y a différence irrévocable entre l’homme et la femme, tant mieux ! C’est ce qui fait la force de la complémentarité et son attrait.
        Cependant, il reste du primitif en l’homme, un vieux pouvoir ancré dans les gènes du temps où la femme était garante de la pérennité de la tribu et qu’il fallait la protéger, la garder à tout prix par le fait qu’elle enfantait.
        On retrouve aussi ça dans les religions primitives qui interdisent à la femme de se marier avec un étranger à la religion.
        On reconnaît une civilisation moderne à la place qu’elle fait à la femme, c’est à dire à l’égalité.
        Mais le féminisme n’est pas d’aujourd’hui : un homme aurait dit il y a quelques deux mille ans : que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. Les accusateurs qui voulaient la lapider seraient partis, honteux, la queue entre les jambes si j’ose dire.
        Et c’est bien le respect de la femme qui est l’avenir de l’homme.
        Disons que nos politiques sont de sombres primitifs quand ils dénigrent une femme pour un moindre prétexte comme un lapsus linguae, par exemple. là, on parle de suite de bourde. On a des beaufs mesquins et indélicats au gouvernement.
        Enfin, il y a ceux qui font de la différence une histoire d’amour et ceux qui en font une guerre. Paix et prospérité pour les premiers.



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