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Accueil du site > Actualités > Economie > « Les riches adorent la dette publique ! »

« Les riches adorent la dette publique ! »

 

On nous culpabilise avec la dette mais on ne devrait pas. La dette est un refuge pour l'argent des riches ne sachant que faire de leur argent.

 

Tags : Economie Monnaie Dette Emmanuel Todd Polémique Finance




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9 réactions à cet article    


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    mat-hac matthius 30 mai 2017 10:06

    1 000 000 de personnes de langue française sont renseignées sur la dette publique.


    • vote
      mat-hac matthius 30 mai 2017 11:16

      La dette n’est même pas un refuge. Les riches ne veulent aucunement dépenser leur argent. Ils veulent créer de l’argent. Seul l’argent créé leur sert.


    • 2 votes
      La mouche du coche 30 mai 2017 11:50

      @yoananda
      M. todd ne fait que répéter ce qu’Etienne Chouard a parfaitement expliqué depuis des années.


    • vote
      mat-hac matthius 30 mai 2017 12:53

      @La mouche du coche
      Étienne Chouard est un peu compliqué sur l’explication. Il n’a séduit que ceux qui avaient déjà compris. C’est Monsieur Quelques minutes, repris par Gabriel Rabhi, qui a permis de démocratiser la monnaie publique.


    • 1 vote
      CoolDude 30 mai 2017 13:24

      @yoananda

      "pour créer de l’argent, il suffit de faire un emprunt !"

      Ahhh enfin...

      Donc on est d’accord, si on n’emprunte plus, plus de création monétaire.

      Et si on rembourse en totalité la dette il n’y aura plus assez de monnaie en circulation pour que l’économie fonctionne correctement.

      C’est l’arnaque de l’argent-dette. On doit s’endetter avec un taux d’usure (qui va dans le poche des plus riches) pour faire tourner la machine : L’esclavage moderne par la dette !


    • vote
      CoolDude 30 mai 2017 13:30

      @La mouche du coche

      "M. todd ne fait que répéter ce qu’Etienne Chouard a parfaitement expliqué depuis des années."

      Ou inversement...

      Source Wikipédia :

      L’Illusion économique : Essai sur la stagnation des sociétés développées, Paris, Gallimard, 1998 (ISBN 2-07-041058-7). Publié en allemand sous le titre Die neoliberale Illusion : über die Stagnation der entwickelten Gesellschaften (1999) et en italien (trad. par Giovanni Negro) en 2004.

      Contenu

      L’analyse de Todd ne se veut pas économique, mais « culturelle, sociale, démographique, anthropologique »1.

      Dans cet essai, Todd tente de démontrer qu’aux différents modèles familiaux correspondent des types de capitalisme distincts. Un contraste se dessine surtout entre le capitalisme anglo-saxon, individualiste, consumériste et structurellement importateur, et le capitalisme des pays à famille souche, allemand, suédois, japonais ou coréen, collectiviste, productiviste et structurellement exportateur. Il y fait notamment le diagnostic d’une baisse tendancielle de la demande dans les pays riches.

      Le concept clé du livre porte sur la distinction entre famille « souche » et famille atomique ou moléculaire ou « nucléaire absolue », l’auteur utilise les différentes expressions, entraînant la création de deux capitalismes, le capitalisme souche et le capitalisme individualiste (essentiellement anglo-saxon). L’euro en voulant donner une même monnaie à des peuples ayant des structures ethnographiques opposées serait voué à l’échec. Inversement une zone monétaire optimale serait une zone où les structures familiales sont relativement homogènes, qu’elles soient « souche » ou atomique2.

      Selon Todd, la France aurait été « décontractée dans sa gestion monétaire jusqu’au début des années 1980 » avant d’adopter un modèle d’Europe centrale, affirmation qui contredit une grande partie de l’histoire monétaire française (très conservatrice jusqu’en 1934)3.

      Le livre est reçu globalement positivement par la critique qui note néanmoins son caractère parfois « excessif », « de mauvaise foi » et ses raccourcis1


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      La mouche du coche 31 mai 2017 21:10

      @CoolDude
      « excessif », « de mauvaise foi » sont les maux de ce livre et voici pourquoi il convient de s’en écarter si l’on est sérieux.


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      mat-hac matthius 30 mai 2017 10:07

      1 000 000 de personnes de langue française sont renseignées sur la dette publique.


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        JL 2 juin 2017 20:08

        « Les riches adorent la dette publique ! »

         
         C’est clair ! Il y a 20 ans que je le dis.
         
         
         smiley



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