L’hypothèse devient de plus en plus certaine que si Robin s’est carapaté comme un lâche en Polynésie, c’est qu’il savait que son comportement de petit être calomniateur et visqueux allait lui apporter de sérieuses emmerdes.
Je l’imagine croisant un de ceux sur qui il a vomi à un moment ou un autre : en particulier des costauds comme Baptiste Marchais, Soral, Rochedy, Papacito, Moreau, Ayoub, et j’en oublie.
Quelque chose me dit que s’il débarquait aujourd’hui à Paris, il passerait son temps à se ch*er dessus (un peu comme lorsqu’il a une menace de procès, mais en plus intense...)
« Consacrées » et pas « consacrée ».
Je crois que mon correcteur orthographique se laisse contaminer par la médiocrité de l’interlocuteur. Je vais lui remonter les bretelles.
Tiens, t’es encore là, toi ? Toujours aussi complexé ? Bon, apparemment tu ne t’es pas remis de mon dernier commentaire, qui t’a légèrement défoncé l’arrière-train. Je te promets d’y aller un peu moins fort la prochaine fois.
Sinon, raconte-nous ta vie : ça se passe bien, tes journées consacrée à regarder des conférences sur YouTube ? Tu stockes à fond des réserves de gras pour cet hiver ?
Si ce Billaud s’était un peu renseigné sur Robin, et donc avait saisi avec quelle exceptionnelle girouette il s’entretenait : peut-être qu’il aurait reconsidéré sa position sur la théorie de l’évolution.
En effet, Billaud, il existe sur Terre des espèces capables de se transformer du jour au lendemain, dès qu’elles se trouvent sous la menace d’un procès ou qu’elles espèrent gratter un petit billet.
Le Jeanus Robinus, espèce rare de Polynésie, peut se transformer brutalement en 24h et passer de « Général des Forces Françaises Libres, à la pointe du combat anti Islam » en « Général des Forces Françaises Libres, à la pointe du combat anti Péril Jaune ». Sans aucune conviction. Ça s’accompagne aussi souvent d’un changement de slip, dû à un brusque relâchement des sphincters après la menace d’un procès.