Conférençovore

3 agents islamiques et tous aussi stupides et incultes les uns que les autres. Une bien vilaine brochette accompagnée de son tryptique "salade-tomate-oignon" et accompagnée d’une de ces répugnantes sauces samouraï... Entre l’ottoman décérébré qui case un smiley à chaque fin de phrase, celui qui, eu égard à son expression désastreuse, a probablement triplé sa quatrième à nos frais et le demeuré de service qui a objectivement 4 chances sur 10 d’être un consanguin, on ne se régale pas franchement dans votre snack halal messieurs ! 

@Saladin Ahhh "les lumières de l’islam"  et les fameux "miracles scientifiques"... Ça faisait longtemps qu’on nous l’avait pas fait ce coup. Lis donc Seraphin Fanjul sur Al andalous et revient discuter. Regarde les indicateurs actuels, quels sont les pays qui persécutent le plus les minorités (14 sur 15 sont islamiques), les IDH, là où il y a le plus de crimes d’honneur, où les femmes sont le plus mal traitées, où la liberté de conscience est inexistante, où l’esclavage est, en 2019, une réalité, etc. et tu comprendras peut-être enfin que nous ne sommes pas très enthousiastes quant aux "progrès" que pourraient apporter ton culte à notre monde. Étonnamment d’ailleurs, tes frangins veulent tous venir chez nous... C’est à n’y rien comprendre tous ces mahométans qui veulent quitter les paradis islamiques pour squatter chez les mécréants !?!

Tiens, les islamistes du forumistan sont de sortie... Mais quelle surprise ! J’apprécie le travail d’Hillard mais il a trop souvent tendance troquer la blouse du docteur en sciences politiques pour enfiler une soutane. Il devrait se demander pourquoi les élites mondialistes tiennent tant à islamiser notre pays qui a été épargné par ce fléau durant 14 siècles... pourquoi diable ces gens semblent si impatient de mettre en place un "Islam de France" tout en sachant pertinemment que les valeurs de cette religion sont en totale contradiction avec celles de nos pays occidentaux.

Il semble avoir un peu délaissé ces dernières années cette rhétorique clientéliste à la Dieudo/Soral visant à draguer les "musulmans du quotidien".

Thuram s’est expliqué hier soir dans une émission de RTL. C’était très intéressant... Il a dit ce qui est rappelé ici, à savoir que le quotidien italien a amalgamé plusieurs réponses pour lui faire dire ce qu’il n’a pas dit. En réalité, il parlait des supporters racistes en disant qu’ils avaient un "complexe de supériorité"... Mais ce qui est aussi étrange c’est qu’il a ajouté, en prenant à témoin le journaliste qui l’interrogeait que "ce complexe de supériorité cache en réalité un complexe d’infériorité, vous voyez ce que je veux dire...". Il eut été instructif que le journaliste lui demandât ce qu’il entendait par là et l’interrogeât sur son éventuel kémitisme mais ce nullos a préféré laisser le Martin Luther King des terrains verts dérouler son discours habituel.

Il a expliqué que les cris de singe dans les stades venaient d’une classification ancienne faisant du "Noir un chaînon manquant entre le Blanc et le singe".

On assistait très clairement à un discours de type inter-sectionnel puisqu’il évoquait un contexte de racisme tout comme un contexte de misogynie et d’homophobie.

Voilà toute l’ambiguïté des gens comme Thuram : il se raccroche en permanence à l’histoire pour expliquer en gros qu’il existe les résidus d’un contexte de racisme structurel. Le problème est que comme tous ces gens, il ne parle jamais de TOUTES les formes de racisme rendant peu crédible son positionnement et laissant plutôt penser qu’il s’agit d’un promoteur du communautarisme noir. Cette ambiguïté n’est pas nouvelle chez lui : un ancien coéquipier, Christophe Dugarry lui avait déjà répondu à propos d’une autre polémique en 2011 qu’il « n’était pas à même de donner des leçons de comportement », et d’évoquer une anecdote inconnue. Le 12 juillet 1998, lors de la finale de la coupe du monde gagnée par les Bleus, Lilian Thuram aurait exigé de faire une photo avec seulement « les joueurs blacks ». Frank Leboeuf lui aurait dit : « Lilian qu’est ce que tu dis là ? Imagine si nous, on avait dit allez les blancs on fait une photo tous ensemble. Comment tu aurais réagi ? ».

Nous pourrons commencer à prendre au sérieux toutes ces associations le jour où elles considèreront qu’il ne peut exister de hiérarchie ou de priorité dans la lutte antiraciste. Quand Dominique Sopo "récuse" l’existence du racisme antiblanc, cela signifie ni plus ni moins qu’une victime d’un tel racisme ne peut être défendue par Sos-racisme puisque, nécessairement, elle affabule et que seuls les "racisés" peuvent être victimes de racisme (ce qui est démenti quotidiennement).

Le discours et le militantisme de tous ces gens est par conséquent inaudible et peut même être taxé de raciste puisque discriminant les atteintes aux personnes en fonction de leurs origines ethniques. Ils sont en réalité les Richard Virenque du racisme... et cela serait presque amusant s’ils ne vivaient pas des impôts de tous les Français.

@Pierre Régnier " Les mots "judéophobie" et "islamophobie" ne sont nullement "flous". Ils sont parfaitement clairs :

judéophobie : phobie des juifs, crainte et haine des juifs islamophobie : phobie de l’islam, crainte et détestation de l’islam."

C’est bien le pb au contraire. Associer la crainte et la haine est fallacieux et faux. Quelqu’un qui est arachnophobe n’est pas nécessairement haineux des araignées. Quelqu’un de haineux chercherait à les tuer, or l’arachnophobe cherche systématiquement à les fuir. Crainte et haine peuvent parfois coexister mais parfois seulement. Ces termes impliquent une confusion malsaine. Mieux vaut employer les termes de "misislamie" pour définir la haine de l’islam, l’expression "islamo-critique" (substantif et adjectif) pour exprimer, plus largement que la seule crainte, a minima un questionnement quant à l’idéologie islamique et simplement une "hostilité vis-à-vis des musulmans en tant qu’individus ou groupe d’individus de confession musulmane ou supposés l’être". Idéalement, pour cette dernière, nous devrions avoir le mot "islamophobie" associé mais tel n’étant pas le cas, le terme doit être proscrit afin de lever toute ambiguïté.