ETTORE

montre bien à quelle porte il faut frapper, pour y réussir. d’ou que vous veniez.

Pour ceux qui en doutent, on pourrait se demander pourquoi ne pas encenser de la même façon les autres communautés présentes sur le sol Français.

Plus vendus que ces parvenus politiques, tu meurs.

Il serait peut être temps de réfléchir à un autre système de gouvernance qu’à cette fin de règne pitoyable .

pour ma part, depuis le temps que j’entend parler d’ EAU je dis " ho !!!"

Penser à ce qui est le plus rependu sur cette planète pour en faire la solution à notre soif inextinguible d’énergie est en soi une bonne idée.

J’attend impatiemment que Bue MAN fasse l’acquisition d’un modèle présenté

et nous convainc de la luminosité du produit.

Dans cette attente, permettez moi de classer tout cela dans la rubrique

 " jo trouvetou" et surtout dans le registre " comment compter les gogos tout en se faisant du pognon "

Et si de plus ce fichier d’" acheteurs" est revendu.........je ne vous explique même pas la honte à se trimbaler pour les années à venir !

THE FOG n’est pas une brillant aspect de cette vérité.

C’est à lui seul une pollution verbale et son image en tête de l’article ne fait qu’activer le compostage de ses idées.

Certes, nous sommes à l’ère des poissons pannés prêts à cuire sans huile, des steacks sous vide dont l’étiquette présente la matière intérieure comme un produit clean bien loin de la vache à lait "élevée" en ferme concentrationnaire .

L’homme à toujours tué les animaux........ en même temps que lui même..

Alors que cela s’arrête....oui, bien sûr que se serait bien.......pour tous !

Je vois partout autour de moi, des terrais sacrifiés pour des hangars, bureaux, locaux .......la plupart sont tout neufs, et les affiches aux beaux graphiques qui vantent leur noms à l’américaine se délitent petit à petit depuis le temps qu’ils sont en place. Des immeubles neufs, inoccupés, sans parler de la multitude d’ anciens locaux laissés à l’abandon et qui forment autour de Strasbourg des zones délabrées et infréquentables.

Toutes ces terres agricoles, coupées sous le joug des promoteurs, qui alternent joyeusement , village, zone industrielles, village, zone résidentielles......

Soit, nous n’allons pas pleurer pour quelques parcelles de maïs en moins, mais nous payons toujours aussi cher les salades et autres légumes qui pousseraient bien mieux pour le service des gens, que ces plateaux bétonnés à tour de bras ou ne pousse que bardage et goudron.

baptisé : LE RIVATON

Dommage, avec un " H" de plus on aurait pu le consommer le vendredi !

J’aime à croire que son bouquin est aussi insipide que les tranches de sciure agrémentées de graisses, servies dans les Fast Food.

Mon dieu, pourquoi continuer à couper des arbres pour écrire de pareilles 

salades.