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Le poulpe entartré

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    Le poulpe entartré 18 mai 2011 17:44

    Erreur Ariane, c’est le bousquet.



  • 2 votes
    Le poulpe entartré 18 mai 2011 17:42

    Alors là on touche le fonds, Zézette voyons, tu déconnes.
    Tu as l’air d’une écolière qui a débite sa récitation juste pour avoir une bonne note mais qui s’en balance du sujet vu que ses copines elles vont partir à la piscine dans cinq minutes et elle serait bien mieux avec. C’est dur de se livrer à une corvée pareille mais l’ex futur président, il a vraiment fait le con avec sa nouille. Alors, c’est la minute de colle télé. Oui, c’est chiant mais c’est tombé sur toi au tirage au sort alors fait pas cette bobine. Sourires, svp, ça tourne.



  • 17 votes
    Le poulpe entartré 22 avril 2011 13:42

    Ménard est préoccupé lorsqu’il entend le nom d’Eva Joly. On le comprend. Si l’on commençait à s’intéresser de près à lui on pourrait s’apercevoir des faits suivants :

    RSF reçoit des financements d’organisations telles que le Center for a Free Cuba, un groupuscule d’extrême droite, financée par les Etats-Unis, dont le but est de renverser le gouvernement cubain, comme le stipulent ses statuts. D’où les violentes campagnes anti-cubaines orchestrées par l’entité parisienne, notamment l’attaque de l’ambassade cubaine de Paris en avril 2003. RSF prétend même n’avoir jamais occulté ces subventions dont elle bénéficie depuis 2002. Cela est faux puisque ces dernières n’apparaissent pas dans les comptes de 2002 et 2003. Qui avait procuration sur ces comptes ?

    Robert Ménard quitte la direction de Reporters sans frontières le 30 septembre 2008. Depuis novembre de la même année, il occupe les fonctions de directeur d’un centre d’accueil pour les journalistes à Doha au Qatar, doté d’une subvention annuelle de 3 millions de dollars par l’émir. Son conseil d’administration compte notamment PPDA et Dominique de Villepin.  Cette reconversion dans un pays qui n’a rien d’une démocratie : le pouvoir y est transmis par hérédité et la presse n’a pas le droit d’émettre des critiques contre la famille régnante et le gouvernement ; ce n’est plus un problème...fiscal.

     Parce que l’éthique, c’est quoi déjà ?

    Robert Ménard est même allé jusqu’à légitimer la torture, suivant la décision du Congrès étasunien de la légaliser en octobre 2006. Lors de l’émission de radio "Contre-expertise" présentée par Xavier de la Porte sur France Culture le 16 août 2007 de 12h45 à 13h30, le secrétaire général de RSF a affirmé qu’il était légitime de torturer des suspects pour sauver la vie d’innocents, reprenant l’argumentation des plus effroyables dictatures et bien sûr de l’administration Bush. "Si c’était ma fille que l’on prenait en otage, il n’y aurait aucune limite, je vous le dis, je vous le dis, il n’y aurait aucune limite pour la torture . Non seulement, Ménard légitime la torture, position moralement insoutenable même contre des criminels, mais il remet également en cause la présomption d’innocence. Faut-il rappeler à l’ex-patron de RSF que l’apologie de la torture est interdite en France, que même si les USA ont voté une loi pour en autoriser l’usage, elle est condamnée par l’ONU, la Convention de Genève, Amnesty international et par toutes les ONG ou presque ?

    Robert Ménard est au journalisme ce que Bernard Kouchener est à l’humanitaire : une ingérence.

    Auparavant  :

    L’activité concrète de Reporters sans frontières est très éloignée de ce que les donateurs croient financer. Le fonds d’assistance aux journalistes opprimés, c’est-à-dire le paiement des honoraires des avocats des journalistes emprisonnés, le soutien matériel à leurs familles, le développement des Maisons des journalistes, tout cela qui représente le cour de l’activité officielle de l’association et la raison de la générosité du public ne reçoit que. 7 % du budget général ! Vous avez bien lu : pour 1 euro donné pour les journalistes opprimés, seuls 7 centimes arrivent à destination.

    Où passe donc le reste ?

    La véritable activité de Reporters sans frontières est de conduire des campagnes politiques contre des cibles déterminées. Elles seraient légitimes si, comme la Fondation Soros , elle n’instrumentalisaient pas la liberté de la presse au point de l’évoquer pour justifier des violations graves du droit international. À titre d’exemple, RSF s’est félicité de l’enlèvement du président constitutionnel d’Haïti par les Forces spéciales états-uniennes appuyées par une logistique française, au motif que Jean-Bertrand Aristide aurait été un « prédateur de la liberté de la presse » ; un qualificatif étayé par une vision tronquée des évènements qui visait à faire passer le président haïtien pour le commanditaire de meurtres de journalistes. Force est d’observer que, ce faisant, Reporters sans frontières soutenait médiatiquement une opération dans laquelle le gouvernement français s’était fourvoyée, alors que ce même gouvernement français subventionnait l’association.

    Le caractère idéologique des campagnes de Reporters sans frontières tourne parfois au ridicule. Ainsi, l’association s’est-elle indignée du projet de loi vénézuélien visant à soumettre les médias au droit général, mais elle ne s’est pas préoccupée du rôle du magnat de l’audiovisuel Gustavo Cisneros et de ses chaînes de télévision dans la tentative de coup d’État militaire pour renverser le président constitutionnel Hugo Chavez .

    C’est en définitive à propos de Cuba que la polémique s’est cristalisée, tant il est vrai que RSF a fait de la dénonciation du régime castriste l’axe principal de ses campagnes. Selon l’association, les 21 journalistes emprisonnés dans l’île auraient été accusés abusivement d’espionnage au profit des États-Unis et seraient en réalité victimes de la répression gouvernementale. Pour lutter contre ce gouvernement, RSF a organisé diverses manifestations, dont une qui a mal tourné, le 14 avril 2003 devant l’ambassade de Cuba à Paris. Dans son enthousiasme, l’association a également troublé la session de la Commission des droits de l’homme, au siège de l’ONU à Genève. Ses militants avaient pris à partie la présidence libyenne de la Commission et molesté des diplomates. En conséquence, Reporters sans frontières a été suspendu pour un an de son statut d’observateur au Conseil économique et social (Ecosoc) de l’ONU. Robert Ménard n’a pas manqué de stigmatiser les dérives de cette commission, selon lui aux mains des spécialistes des violations des droits de l’homme. Pourtant, les sanctions à l’encontre de RSF ont été votées par des États parfaitement démocratiques comme l’Afrique du Sud, le Brésil ou le Bénin.

    Interrogé par téléphone, Robert Ménard récuse les allégations selon lesquelles RSF aurait été acheté par l’argent de la NED/CIA pour mener campagne contre Cuba. Il explique que l’association a demandé une subvention à l’Agence états-unienne pour venir en aide aux journalistes opprimés en Afrique et qu’elle a en définitive reçu seulement 40 000 dollars à la mi-janvier 2005. Dont acte.

    Poursuivant la discussion, M. Ménard récuse également les accusations de notre collaborateur Jean-Guy Allard, par ailleurs journalistes à l’agence nationale Granma Internacional. Celui-ci relate les liens personnels étroits que le directeur exécutif de l’association entretient avec les milieux d’extrême droite anticastriste à Miami, notamment avec Nancy Pérez Crespo. Haussant la voix, il nous accuse de projeter des présupposés idéologiques sur les choses, alors que lui et son association s’astreindraient à la plus grande neutralité. Puis, il nous accuse d’accorder du crédit à de la « propagande communiste ».

    Vérification faite, Robert Ménard fréquente bien l’extrême droite de Miami et RSF est bien financé par le lobby anticastriste pour mener campagne contre Cuba. En 2002, Reporters sans frontières a signé un contrat, dont les termes ne sont pas connus, avec le Center for a Free Cuba, à l’issue duquel il a reçu une première subvention de 24 970 euros. Celle-ci a été augmentée à 59 201 euros pour 2003. Le montant 2004 n’est pas connu.

    Le Center for a Free Cuba est une organisation créée pour renverser la révolution cubaine et restaurer le régime de Battista. Elle est présidée par le patron des Rhums Bacardi, dirigée par l’ancien terroriste Frank Calzon, et articulée à une officine de la CIA, la Freedom House.

    Le contrat signé avec le Center for a Free Cuba a été négocié en 2001 avec le responsable de l’époque de cette organisation : Otto Reich, le champion de la contre-révolution dans toute l’Amérique latine. Le même Otto Reich, devenu secrétaire d’État adjoint pour l’hémisphère occidental, fut l’organisateur du coup d’État manqué contre le président élu Hugo Chavez ; puis, devenu émissaire spécial du président Bush, il supervisa l’opération d’enlèvement du président Jean-Bertrand Aristide.

    RSF, c’est 7 % de soutien aux journalistes opprimés et 93 % de propagande impériale états-unienne

    (sources Réseau Voltaire)



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    Le poulpe entartré 22 avril 2011 11:44

    En l’état actuel, ce serait plutôt le désordre mondial. Les ajustements se font de plus en plus dans la douleur à cause entre autre, des différences de temps de réaction des économies. Certaines sont très bien équipées, l’informatisation est à outrance. D’autres sont en train de le faire. L’argent spéculatif en circulation, se déplace autour de la terre comme un nuage, en quelques heures, voir quelques minutes. Les sommes en question sont considérables. Des régions deviennent ainsi attractive du jour au lendemain et peuvent retrouver l’état initial aussi vite, laissant les habitants avec des actifs d’investissement devenu sans valeur, sur les bras. 

    Cela étant les peuples qui forment l’humanité ont presque tous une histoire différente et elle est rattachée à un lieu géographique en général, le cas des arméniens et des palestiniens mis à part. Les nations qui sont elles même des agrégats pré-existaient avant toute perception de peuple mondial ; ce que les moyens numériques ont tendance à suggérer. Dire que les nations divisent le peuple humain alors qu’elles sont de fait les éléments constitutifs ; c’est se tromper de sens. Les dirigeants d’une nation devraient normalement, se préoccuper de l’intérêt général des nationaux et des résidents sur le territoire national. Le fait est qu’ils le font peu. Ils pensent parfois uniquement à eux-mêmes et à conserver les prérogatives détenues dans le cadre de leurs mandats. L’humain étant ce qu’il est, à partir d’un certain nombre de millions de $ ou d’ €, certains se laissent acheter au détriment de ceux qu’ils représentent. Les grands groupes financiers l’ont bien compris. C’est ainsi qu’ils peuvent faire mains basses sur des biens collectifs (EDF, Les PTT, France télécom), faire modifier des textes législatifs en vue de leurs intérêts ( Loi NOME : la dérégulation des tarifs de l’éléctricité + 30% pour les quatre prochaines années) en dépit des nuisances et à l’insu du peuple (autorisations des recherches et des permis d’exploitation des gaz de schiste signées par Jean Louis Borloo l’ex-écolo du Grenelle de l’environnement). 

    Les nations sont un des derniers remparts contre l’avidité de ces vautours internationaux que sont les grands groupes financiers (Rockfeller, JP Morgan, Sorros). La guerre déclenchée contre l’Iraq n’a été au final que le braquage de la plus grande station service du monde. Comme on ne change pas une équipe qui gagne, ils recommencent en Lybie. Le peak oil étant atteint, la maitrise du pétrole fossile sera la maitrise de l’économie d’où la précipitation US à s’accaparer les ressources. Ils tentent ainsi de bloquer la Chine à moyen terme.

    Effectivement, vous avez tout à fait raison ; les vrais dirigeants, officiels ou non (Bilderberg, nouveau cercle, trilatéral, etc) s’entendent pour soumettre (c’est terrible mais exact) l’ensemble des peuples aux seuls profits de leurs intérêts. D’où l’acharnement du laquais Attali pour refourguer, pour revendre le concept du gouvernement mondial. Ses nombreuses apparitions sur les plateaux télé sont de la propagande et rien d’autre. A propos, à qui appartiennent les chaînes de télévision depuis qu’elles ne font plus partie du service public (hormis France2+3) ? Là aussi, ils ont déjà fait mains basses. 

    Les citoyens se réveilleront ils avant que le point de non retour soit franchi ? Qu’attend t on pour faire comme l’ Island et dire merde au banquier ? Qu’attend t on pour annuler la loi Rockfeller-Pompidou de 1973 ? Que font nos députés ? Achetés eux aussi ? Non, c’est pas possible, c’est la réalité ?



  • 11 votes
    Le poulpe entartré 19 avril 2011 22:55

    Pascale Clark n’est pas une journaliste.
    Elles n’est pas foutue de réaliser un reportage documenté, c’est fait par dessous la jambe.
    C’est une chroniqueuse de people (showbizz ou politique) dont le seul centre d’intérêt est de faire de l’écoute (et donc des recettes publicitaires pour son employeur) en employant les recettes de café du commerce. Il s’agit de damé le pion à l’interviewé, à avoir le dernier mot, pour donner l’illusion qu’elle connait quelque chose au sujet quel aborde. Plus tordue encore, elle en profite pour balancer ses bonnes idées à la godille comme la pensée correcte et adéquate.
    Alors, elle se glisse dans sa panoplie de fausse ingénue pour sortir ses vannes foireuses espérant mettre les rieurs de son coté.
    C’est pas du journalisme : c’est de la daube.

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