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poetiste

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    poetiste 2 novembre 2011 19:41

    Vous pouvez dire ce que vous voulez sur "Dieu ou Allah" ou tout autre concept à l’image de l’homme.Vous pouvez en faire la caricature, il vous pardonnera puisqu’il est censé être clément et miséricordieux.
    Mais ne dites pas du mal du diable, il vous plante sa fourche dans les fesses aussitôt et vous envoie ses séides pour vous lyncher.
    Je suggère donc d’inventer un Dieu ou un Allah plutôt avec le sens de l’humour, le petit bipède mammifère au temps imparti : l’homme, se donnera de meilleures chances d’éviter des violences imbéciles.
    Funeste tragédie des religions qui ne relient pas du tout mais font exactement le contraire !
    Dieu et Allah sont bien capables de se défendre tout seul même si on les affuble d’un chapeau de clown. Les croyants à la rescousse de Dieu, ce n’est pas un peu démesuré ça ?
    Si un croyant se fait protecteur de Dieu, il se met donc au dessus de lui. C’est toujours un plus petit que l’on protège. Là, il y a blasphème !!
    Et Charlie Hebdo fait prendre de la distance avec ces incongruités, il est un journal utile.
    Qui a mis le feu, c’est autre chose, même si ça profite à la droite. Attendons l’enquête.



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    poetiste 2 novembre 2011 10:57

    @Latigeur

    On ne peut mieux dire, mais il manque un élément à Onfray pour comprendre l’origine de cette sempiternelle dialectique : le négationnisme de la crucifixion.
    Le Coran dit : on n’a pas crucifié Jésus, on a mis un autre à sa place.
    Il est "kidnappé" dans le Coran mais sans le témoignages des apôtres. La parole exhortant la laïcité : "tu dois rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu" ne peut donc être entendue par les adeptes du Coran.
    L’islam ne peut donc de ce fait dissocier politique et religion. Michel Onfray est passé à côté de la clé de l’énigme. CQFD.
    Tout s’explique à condition de ne pas négliger l’origine de sa propre culture. L’islam , par ce négationnisme, cette contestation, s’est érigé en contre religion. Et comme c’est la pierre d’angle de la culture chrétienne, le différent remonte à loin.



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    poetiste 31 octobre 2011 23:44

    On ne va pas déconstruire l’Europe mais nous endetter auprès des Chinois pour éponger la dette. On est vraiment tombés sur la "dette". On continue à faire de petites visites en Chine pour soit disant gagner des marchés et en douce on emprunte.
    Il paraît que le dernier emprunt sauverait l’euro, juste quelques milliards, et la banque centrale, via les Allemands refuse toute inflation. On ne va pas dévaluer l’euro.
    Que va-t-il sortir du G20 ? Un emplâtre sur une jambe de bois ? Et les Français moyens sans moyens continueront d’acheter Chinois sans une volonté de s’unir pour faire front devant un expansionnisme qui progresse à 10 pour cent quand on réduit à 1 pour cent notre croissance.
    Nous serons tous convertis à la religion du plus agressif ; la finance c’est comme la religion.
    Un Français moyen ne recule jamais, ne se regroupe jamais pour la cause : il est consommateur,point barre ! L’individualisme a des œillères, il fonce droit devant.
    Des forces vives sont au chômage et ça va continuer selon la logique de vivre au dessus de ses moyens(sauf pour les chômeurs).
    L’urgence n’est pas globalement perçue à sa juste valeur, on ne fait pas des économies d’importations. Le bon marché d’aujourd’hui coûtera encore plus cher demain.
    Mais mettre l’Europe à genoux tout de suite en revenant aux monnaies nationales, c’est la solution d’un suicide programmé.
    On ne restera pas à baver devant les produits chinois sans les acheter, l’addiction est là. Ils font du dumping. La Chine a besoin de l’Europe pour contrer les Américains, diversifier ses marchés financiers. Ça sent le brûlé tout ça !
    Mais revenir au franc ? Sauve qui peut ! L’autarcie, non merci. On sait où elle a conduit.
    Et les petits voyages en Chine continueront pour des marchés de centrales nucléaires et ventes d’armes qui n’aboutiront pas. (Et tant mieux !).
    La mondialisation n’a pas d’état d’âme. Bon, je retourne à mon cours de Chinois. Et l’Inde arrive par derrière, je vais en perdre mon latin.



  • 15 votes
    poetiste 31 octobre 2011 10:08

    Il y a trop de choses dans le crâne de Michel Onfray, trops de neurones qui se bousculent, trop d’embouteillages dans les synapses et aussi des impasses comme le négationnisme de la chrétienté ou un sens de l’humour qui ne peut admettre Dieudonné (Son nom doit aussi lui rappeler la religion chrétienne, sa phobie.).
    Le titre de cette vidéo est quand même étonnant : en retirant une seule parole de son contexte : "je suis sioniste", voilà un procédé bien connu de malhonnêteté intellectuelle.
    Michel Onfray n’est pas anti Palestinien !
    Quant à l’expansionnisme,c’est la tentation diabolique de toutes les religions. Seule la laïcité nous sortira des affirmations religieuses identitaires.
    Quand allons-nous enfin parler entre hommes, sans esprit partisan et sans haine ??
    L’homme oublie trop souvent que son pire ennemi est lui-même. La faculté d’introspection semble faire défaut et ça entretient les polémiques stériles ;
    Michel Onfray est un brave homme honnête intellectuellement avec lui-même, c’est déjà ça, ce que n’ont pas certains esprits sans nuances. C’est du style des médias à sens unique ça, c’est de la télé !



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    poetiste 30 octobre 2011 14:00

    Si on sort de l’euro pour revenir à l’écu, les Grecs ne vont pas être contents si on sait ce que ça veut dire en Grec, de même que tchine tchine en Japonais. Mais n’en faisons pas un drachme non plus.
    Quitter la "zone" euro même si c’est la zone, il faudrait s’en arracher des racines, car même si nous nous sommes plantés, nous nous y sommes implantés profondément.
    J’aimerais bien qu’on m’explique comment arracher l’arbre sans qu’il meure.
    Je ne me prendrai pas la dette avec ça, c’est inenvisageable.
    La dette, ça été fait par la droite pour coincer la France dans l’Europe et donner un héritage impossible aux socialistes qui eux-mêmes sont européens. Drôle de jeu ! On est loin du tiers du PIB.
    Tout ça sous le prétexte de la crise.
    Hollande sur la corde raide : tous au spectacle ! Tombera, tombera pas ! Il ne peut pas ne pas prendre le train que Sarkosy a mis sur ces rails. Obligé à l’économie dite libérale ! S’il fait du socialisme, il est foutu.
    Mais sortir de l’euro, êtes-vous sûrs de la recette ?

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