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poetiste

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  • 6 votes
    poetiste 3 janvier 2011 14:58

    Les extrémistes négationnistes de la crucifixion qui confondent le kamikaze assassin et le martyre, sont encore allés tuer des innocents, lâchement.

    L’obscurantisme a encore frappé chez les adorateurs idolâtres de leur identité religieuse à courte vue.

    Ces barbares qui veulent ignorer que la spiritualité est l’intelligence du cœur et non pas un mimétisme relatif à l’instinct grégaire.

    Malheur à celui par qui le scandale arrive !

    Paix à ceux qui sont tombés et aux nombreux blessés qui devront souffrir de ces actes démentiels.

    Bender : le système financier n’excuse pas ces actes, je les connais, ils sont réels.

     

     

     



  • 2 votes
    poetiste 3 janvier 2011 14:20

    On a longtemps débattu du faux problème des trente cinq heures. Une loi qui détermine la durée du travail de façon impérative ; on reconnaît bien là le syndrome autoritaire et irréaliste de l’enseignante Martine Aubry.
    Et il y a de plus en plus de chômeurs : où est donc le partage du travail.
    Cette loi a été vers la facilité en généralisant à tous cet impératif des 35 heures. Si elle avait eu plus de souplesse, nous n’en serions pas là.
    Pour promulguer une telle loi, il y avait deux paramètres importants à considérer : La valeur du travail et la production de biens dont tout le monde bénéficie.
    Je suis pour les 35 heures mais je ne roule pas avec une voiture dont il manque deux roues.
    Il y a eu des cas de figures problématiques à partir de cette loi qui manquait de nuances et d’accommodements pour certaines activités.



  • 1 vote
    poetiste 2 janvier 2011 21:18

    Il y a différence irrévocable entre l’homme et la femme, tant mieux ! C’est ce qui fait la force de la complémentarité et son attrait.
    Cependant, il reste du primitif en l’homme, un vieux pouvoir ancré dans les gènes du temps où la femme était garante de la pérennité de la tribu et qu’il fallait la protéger, la garder à tout prix par le fait qu’elle enfantait.
    On retrouve aussi ça dans les religions primitives qui interdisent à la femme de se marier avec un étranger à la religion.
    On reconnaît une civilisation moderne à la place qu’elle fait à la femme, c’est à dire à l’égalité.
    Mais le féminisme n’est pas d’aujourd’hui : un homme aurait dit il y a quelques deux mille ans : que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. Les accusateurs qui voulaient la lapider seraient partis, honteux, la queue entre les jambes si j’ose dire.
    Et c’est bien le respect de la femme qui est l’avenir de l’homme.
    Disons que nos politiques sont de sombres primitifs quand ils dénigrent une femme pour un moindre prétexte comme un lapsus linguae, par exemple. là, on parle de suite de bourde. On a des beaufs mesquins et indélicats au gouvernement.
    Enfin, il y a ceux qui font de la différence une histoire d’amour et ceux qui en font une guerre. Paix et prospérité pour les premiers.



  • 3 votes
    poetiste 2 janvier 2011 15:21

    La résistance

     

    Entrer dans la résistance, c’est cesser de collaborer. De quelle manière collabore-t-on et avec qui, à quoi ?

    L’ennemi est intérieur, il ne dit pas son nom. Il est partout, à commencer en chacun de nous car nous trempons tous dans le même bain qu’on le veuille ou non et le mimétisme se produit subrepticement du fait d’un manque de vigilance caractérisé, voire une démission devant l’ampleur de la gabegie.

    Par quel bout pouvons-nous commencer pour redonner un sens à notre société qui s’esquive devant le partage ? Et avons-nous vraiment le désir d’un changement ? Oui, si nous sommes pauvres, chômeurs ou exclus, non si nous faisons partie de ces nantis, les seuls qui ont la faveur des politiques.

    Notre ennemi personnel une fois anéanti, c’est-à-dire que nous passons à un stade supérieur de solidarité, il nous reste à affronter l’ennemi de l’intérieur des gros pleins de sous qui spéculent et nous parlent de travailler plus pour gagner plus.

    Le temps est venu de réinventer une nouvelle forme de socialisme véritable prenant en compte les plus démunis, abandonnant les jeux de pouvoir, les joutes électoralistes qui déconnectent les politiques des véritables préoccupations des braves gens.

    Sans générosité, on est foutus, la démocratie est foutue, et c’est bien la pente savonneuse sur laquelle nous sommes en train de glisser inexorablement si nous ne nous reprenons pas.

    Il faut partir du principe selon lequel chacun doit avoir les moyens de vivre décemment, ce qui n’est pas le cas et paradoxal en une démocratie. Moralité : on s’est laissés avoir sans se donner les vrais moyens d’une résistance.

    Résister, ça veut dire prendre le maquis, c’est-à-dire sortir de la vie communément admise comme normale, avec son confort anesthésiant. Sortir du brouhaha médiatique abrutissant. Susciter la curiosité de savoir chez les enfants et ne pas leur donner leur plâtrée de jeux vidéo et télé à consommer.

    Pour rétablir le sens, il convient de retrouver des valeurs abandonnées sur le chemin et leur donner vie. En premier lieu, un goût de vivre en une simplicité retrouvée.

    La complication, c’est une sorte d’ésotérisme qui ne profite qu’au riches d’où l’importance des universités populaires. Il y a certainement à creuser aussi sur des méthodes d’approche du savoir en s’ébrouant de tout ce qui cherche à exploiter de façon véhémente pour forcer à consommer.

    La résistance, c’est aussi être au courant des loi promulguées quasiment à l’insu d’une majorité de citoyens, comme la loi loppsi 2, par exemple, qui fait exactement le contraire de ce qui serait salutaire pour notre société : elle enfonce encore plus le clou de l’exclusion en donnant feu vert aux préfets pour détruire les habitations précaires.

    En effet, tout se serait plutôt aggravé depuis 2007 et la résistance pourrait heureusement venir remplacer l’attentisme, la déprime, l’exploitation de l’intérieur.

    La résistance peut aussi s’appliquer à lutter contre les brevets sur le vivant, ce qui est du vol caractérisé, véritable piratage des temps modernes.

    Le facteur commun de tout ça est évidemment une recherche du profit pour le profit, une course au fric à court terme sans considération d’un avenir fiable pour la société toute entière.

    Et les inconséquents qui nous gouvernent sont dans leur bulle : La valeur humaine semble leur échapper alors que long terme est là, exactement.

    Ce n’est même pas la dette abyssale qui les stresse, c’est de penser qu’ils pourraient perdre les élections, le pouvoir de n’en faire qu’à leur tête.

    Alors, des résolutions, il va en falloir pour 2011. Résister ! Et comme notre enfer est pavé de bonnes intentions, ce n’est pas avec ces pavés là que l’on refera Mai 68 mais avec une détermination à la hauteur de notre ras le bol. Bonne année à tous !

     

     

     



  • 7 votes
    poetiste 28 décembre 2010 21:40

    Logiquement, d’un point de vue géologique, nous allons vers une période de glaciation. Une augmentation de CO2, si elle a un effet de serre, nous pouvons nous attendre plus à des bouleversements climatiques qu’à un réchauffement global.
    Réchauffement ou non, nous saccageons quand même la planète et dire que ça n’a pas d’impact sur son équilibre, c’est inconsidéré.
    C’est une question qui dépend d’une telle multitude de paramètres que l’équation est même impossible à poser. On ne prévoit déjà pas le temps au delà de quelques jours malgré calculs et simulations.
    Certains sont tentés de penser que la terre est un être vivant ( des scientifiques, aussi). Alors, respectons sa vie et la vie en général. Dans le doute absolu, on ne connaît pas le risque de réchauffement. Mais il n’est pas interdit d’en parler même si ce n’est jamais en connaissance de cause.
    Les scientifiques, en revanche, ont le devoir de rester dans le doute quand la démonstration n’est pas faite du phénomène énoncé.
    Hé ! On est bien peu de chose avec notre laps de temps imparti sur la terre, raison de plus pour vivre dans le présent et bien faire. Entre devins ou entre deux vins, on raconte toujours des histoires douteuses.

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