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Tartoquetsches

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  • 6 votes
    Tartoquetsches 1er juillet 2014 08:57

    Non justement.

     Quand le sujet est abordé par les médias, c’est l’ecart global qui est donné jugement hors de toute différenciation catégorielle (TPS partiel, poste, coefficient, etc...)
    C’est bien la tout le problème, l.ecart de salaire ne veut rien dire en soit, la bonne question c’est pourquoi les femmes occupent des postes moins valorisés.
    Mais la super bonne question ce n’est même pas celle la, mais pourquoi les métiers du social (plutôt féminin) sont moins valorisés que ceux de la finance (plutôt masculin)... Ça c’est une excellente question de société et qui permet d’eviter la réponse inepte apportée par la théorie du genre....
    Les métiers les plus valorisés sont ceux qui "font de l’argent" : productif, financier.
    Majoritairement occupés par les hommes, non par discrimination mais par affinité.
    Les femmes préférant globalement le partage, le social... Les hommes plus individualistes préfèrent les métiers qui rapportent (ce sont des généralisations, mais faciles à vérifier par les statistiques et les comportements). Et comme nous sommes dans une société néolibérale, évidement les métiers "qui rapportent" sont plus valorisés et promus par le système.
    Le jour ou les féministes auront compris que la solution ce n’est pas que les femmes deviennent aussi "rapaces" que les hommes pour gagner autant mais que le travail de la sage femmes ou de l’infirmiere soient plus rénumérés que celui du trader, du banquier, de l’assureur ou du chef d’entreprise, métiers nuisibles pour le bien commun, vu que soumis au libéralisme le plus débridé. Bref, la question est sociale et pas societale. 
    C’est pourquoi la théorie du genre est promue par le système néolibéral, il tue la question sociale évidente pour la transformer en combat factice homme/femme.


  • vote
    Tartoquetsches 13 juin 2014 17:27

    Bon nous avons des différents sur le terme employé, à quoi bon avoir inventer les mots de coup d’état armé et révolution si ces mots recouvrent les mêmes choses. Dans l’usage ce n’est pas le cas. mais passons...

    Là où ton positionnement n’en est pas vraiment un, c’est que tu te contentes de décrire les choses, sans prendre parti. Je sais que tu le revendiques et tu en as parfaitement le droit.
    Or dans certain cas, prendre parti c’est affirmer ce à quoi on croit, ce que l’on trouve moral, légitime, étique. Ces mots ne sont pas des gros mots, ils sont le fondement même de toute société. Le fait de garder la position de l’aigle qui survole et se contente de décrire du haut du ciel les turpitudes terrestre tout en les mettant sur le même plan ("ça fait parti du jeux") ne mène pas à grand chose... à part au cynisme.
     
    Avec ça tu peux aussi justifier que pour Hitler éliminer les Juifs était dans son intérêt et que "ça fait parti du jeu" car il l’a écrit dans Mein Kampf et donc que ça fait parti de ses objectifs pour le "bien de l’Allemagne". Je suis limite avec Godwin, mais je suis sur que tu comprends le parallèle.

     Tu es un être de chair et de sang, tu as aussi une morale, une éthique un sens de la légitimité des choses qui doit, au delà de la description des faits et stratégies, te faire pencher vers un parti dans certain cas. Or, on ne perçois que rarement ce que pense vraiment le Maquiavel d’Avox, et c’est ce qui rend tes articles..disons ambiguës, voire troubles... et t’attire une certaine incompréhension. C’est subjectif bien sur (vu le sujet) mais c’est ce que je ressent et je crois pas être le seul...


  • vote
    Tartoquetsches 13 juin 2014 15:47

    certes pour la démocratie.

    Notre "différent" sémantique pour le terme révolution vient du fait que celle-ci n’a pas de définition claire, et quelle désigne des événements trop disparates ayant juste pour point commun un changement de pouvoir, alors que le sens commun associe toujours Révolution et majorité populaire.

    Qualifions donc les événements de Syrie de révolution "apopulaire" ou "colorée"
    le terme a déjà pris une connotation de "fausse révolution made by NED" depuis la Serbie, l’Ukraine et la Géorgie.

    Bien sur pour les 20% (je suis généreux) de Syriens qui soutiennent l’opposition, il s’agit d’une révolution en cours, mais pour les 80% c’est une guerre d’agression.
    On pourrait ainsi définir le mot Révolution par : "est qualifié de révolution un changement de régime qualifié comme tel par la majorité de population du pays concerné".

    ceci dit, j’espère que la Syrie s’en sortira.
    cruel indemne, si le régime tombe, la syrie éclate et les minorités trinquent (émigration voire élimination pour les alaouites), et la guerre larvée reprendra tôt ou tard (idem irak)
    si le régime matte la révolte, l’instabilité perdurera et ce ne sera que partie remise.

    La clé est plus à Washington, Istanbul et Riyad qu’à Damas. tu vas me dire qu’elle est aussi à Téhéran et Moscou, mais ceux-ci soutiennent un état ...soutenu par la majorité de sa population (on y revient).

    Il y a donc bien un sentiment nationaliste fort en Syrie, plus fort que les forces islamiques avec leur rêve de charia transnationale et les velléités géostratégique de l’empire de détruire l’axe chiite qui a le tord de vouloir garder une certaine indépendance à son égard.



  • vote
    Tartoquetsches 13 juin 2014 14:40

    erratum :

    ceux...



  • vote
    Tartoquetsches 13 juin 2014 14:38

    personne ne qualifie de révolution les coups d’états militaires d’Amérique latine des années 60 70...


    même pas ce qui les ont soutenus (us) et même pas les auteurs eux mêmes.
    y’a que toi en fait...




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