Zemmour, fait apparaitre une autre question que me semble pertinente : la capitalisation des sociétés et leurs actionnaires. La globalisation est passée par là aussi. Elle rend la tâche des managers plus ardues et de la même manière moins preignante l’intervention de la puissance publique. Les programmes ou projets qui consistent à rendre contrôlable les entreprises par l’actionnariat (ex : participation des salariés, forme d’épargne des particuliers via la bourse des valeurs etc) ne permet pas de redistribuer équitablement le produit du travail... Ensuite, les capitalisations boursières de nombreuses entreprises européennes (France y compris) ne se trouvent plus sur les territoires nationaux.... ce qui limite l’initiative de l’Etat (en partie, reste tout de même bcp de possibilités de régulation) C’est donc moins de licenciements dont il faut parler que de contrôle des flux de capitaux , à mon sens. Le débat est ouvert... Ceci écrit, nous avons besoin des entreprises...