Et alors ?

Quelles se fassent remonter les bretelles n’enlèvent rien au fait : elle a continué d’être une ministre en toc démontrant à tous qu’elle tenait plus à son froc qu’à sa noble mission.

Si elle avait un peu de considération pour les droits de l’homme, elle pouvait, au plus démissionner, au moins les faire avancer.

Enfin, tout le monde comprend pourquoi elle se félicite ; qui donc serait capable d’une telle infamie à part elle même ? Elle s’enlise dans une posture qui lui va bien : une arriviste prétentieuse, narcissique et perverse . C’est certainement pour cela qu’elle ne fait pas parti du wagon Sarkozy vers l’oubli . Nous aussi ne l’oublierons pas . . .