Si les jeunes sont mûres pour une démocratie participative et une nouvelle république ils sont libres de changer le monde ou de périr en essayant ! Ils se forgeront des outils puissants pour la reprise en main totale de leur destiné. Mais une fois qu’ils auront réussit - car ils réussiront c’est inévitable - nous râlerons encore, car il nous faudra tout voter nous-mêmes...
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Et on parlera du bon vieux temps si simplet de la délégation des pouvoirs où l’on pouvait aller manifester au joli mois de mai et se plaindre que le monde allait si mal car alors nous l’avions laissé tombé mais nous n’étions pas vraiment responsables de sa folie ou si peu vous voyez : c’était les décideurs, les financiers, les élus, c’était la corruption du pouvoir, de l’argent, les faiblesses humaines, l’abstention aux votations, la loi des riches, la météo, les illuminati, etc.
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Tandis que dans ce nouveau monde créé par les nouvelles générations le pouvoir sera de nature horizontal et les décisions communes impliquant nos vies seront débattues et prises localement par tout le monde et ainsi de suite jusqu’au niveau continental, puis mondial où ces décisions locales formeront la nouvelle base du vivre ensembles... Un monde où Bilderberg et armes atomiques seront des crimes contre l’humanité et empêcher par chacun(e) par respect pour toute la planète.
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Une cohérence totale des modes de vie humains où la joie de son prochain vaut plus que l’or. Ce sera un monde au-delà des oppositions des partis, au-delà des vieilles idées capitalistes et communistes, sans querelles religieuses et avec l’argent remit au service de l’humain et non plus l’inverse comme aujourd’hui car l’éthique aura remplacée la consommation débridée... Finalement ces générations nouvelles auront tirées les leçons du passé, des empires et des machiavels, les uns n’allant pas sans les autres.
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Alors nous auront finalement accouchés de la démocratie, je veux dire la vraie puisque faite par tous pour tous tout le temps  Les râleurs ne changent pas le monde, un regard neuf est nécessaire. Au boulot les mutants ! ! !