A Marseille dans les années 1990, sur 800 000 habitants, il y avait 80 000 juifs, 14 synogogues, peut-être 300 000 ou 400 000 Magrhébins, 80 000 comoriens ou mahorais, peut-être 10 000 sénégalais, le reste une petite communauté jaune, des réunionais, des gens de la corne de l’afrique. Très peu de Français de souche, allez y faire un tour si vous ne me croyez pas.
Marseille a réalisé le fameux melting-pot que chantait les gauchistes des années 80, le kaléidoscope de couleur et de culture que chantaient les médias.