"Enfin, je vous vois très soucieux des intérêts de ces "investisseurs" et vous inquiéter de leurs éventuels manques à gagner. Vous vous dites de gauche ? La gauche n’est vraiment plus ce qu’elle était..."
Ce que j’essayais de dire, c’est que derrière ces "investisseurs", il y avait des citoyens, des épargnants, et donc que ce n’était pas si simple. Je ne suis pas un gauchiste primaire, je suis pragmatique. Je ne pleurerai pas sur les requins de la finance, mais si régler le problème de la dette française revient à flouer des millions de gens en bas de l’échelle, cela me pose un problème moral. Pour moi, c’est ça aussi "être de gauche".