Exact !
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Les effets secondaires (doux euphémisme pour désigner la création en cascade de nouvelles maladies) sont une manne sans fin pour l’industrie pharmaceutique, un peu comme la dette sans fin des états et des individus envers les banques.
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A delà de la simple cupidité illimitée des labos pharmaceutiques, il est tout de même question de transformer des individus sujets et acteurs de leurs vie en objets consommateurs zombies, dépendants d’une industrie.
C’est donc bien plus grave qu’une simple histoire de gros sous, l’enjeu est avant tout philosophique et existentiel, il est question de prendre en charge soi même sa propre vie et sa santé ou bien de l’abandonner à des rapaces cupides.