Comme dit plus haut, l’Homme est un animal parmi d’autres.
Alors, certes, il parle, ce qui peut être un peu déroutant pour le vétérinaire non habitué, mais en dehors de ça, les compétences permettant de soigner des animaux aussi différents qu’un chien, une perruche ou un poisson rouge devraient permettre aussi d’apporter les premiers soins au dit primate. Quitte à l’envoyer ensuite chez un spécialiste de l’espèce.
Le reste n’est qu’un problème d’orgueil de la créature assise au sommet de l’échelle de l’évolution (attention à la chute !).