Totalement d’ accord comme le sionisme . Des gens sortent des termes de chapeau magique et te les donne comme ça , sans que tu comprennes la significations qu’ ils donnent à ces mots. Mais il y’ en a plein : Antisémitisme , Islamophobie , gauchiste ( que j’ utilise , j’ avoue  ), racistes etc ...

Sur la définition du fascisme , je suis d’ accord , mais quelques remarques : 

- " Pouvoir fort " est un terme à définir également .Parce que spécifiquement , ce que tu appelles fascisme financier veut donner une impression de con-sensualité et y travaille par la fabrication du consentement . C’ est beaucoup plus doux que le fascisme des années 30 , il s’ agit aujourd’hui surtout de manipulation non violente du milieu , les principales institutions de ce pouvoir ce ne sont pas les forces de polices ou les prisons mais les médias , la culture etc.

Ce n’ est plus le hard power à l’ ancienne ou il s’ agissait de réprimer violemment les attitudes non conforme , mais c’ est le très vicieux soft power ou on amène à des attitudes satisfaisante par la manipulation ce qui est bien plus efficace. Dans les deux cas pour moi , ce sont des pouvoirs fort , sauf que l’ un sait se dissimuler.

- L’ exaltation du sentiment nationaliste : C’ est vrai mais on voit qu’ aujourd’hui c’ est l’ exaltation du sentiment anti-nationaliste. Moi je ne crois pas que ce soit une question de nationalisme ou d’ anti-nationalisme , mais d’ exaltation tout court , car les exaltés sont plus facilement manipulables , c’ est connu .

- La répression de l’ opposition : il faut aussi définir ce qu’ est l’ opposition car on voit bien qu’ aujourd’hui , les grands partis d’ opposition et de gouvernement qui alternent au pouvoir se ressemblent . Les dictatures fascistes avaient les partis uniques qui réprimait l’ opposition , c’ est vrai mais les « démocraties »libérale (ou les totalitarismes de marché c’est selon) ont inventé un système bien plus efficace, l’alternance unique avec des partis de gouvernement , uniformes dans les principes mais polymorphes dans les nuances pour garantir l’illusion de pluralité et de liberté politique, qui alternent au pouvoir et à l’ opposition.