http://fr.wikipedia.org/wiki/Ich_bin_ein_Berliner
http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/de-gaulle-et-le-monde/de-gaulle-et-les-etats-unis/analyses/de-gaulle-et-kennedy.php
extrait du lien précédent :
Pour Kennedy, l’Europe devait s’unir sous le signe de la
supranationalité, être fédérale, comme les États unis ou condamnée à ne
pas être. Pour lui, comme il le dira dans son discours de Philadelphie
du 4 juillet 1962, une telle Europe serait une associée avec laquelle
l’Amérique pourrait « ... mener sur une base de pleine égalité toutes
les lourdes et grandes tâches qui ont trait à l’édification et à la
défense d’une communauté des nations libres ». Les États-Unis, alors,
seraient prêts à discuter avec elle « des voies et moyens de former une
association concrète ». Cette thèse, Henry Kissinger l’interprétait dans
le sens que : « Les politiciens américains... considéraient l’unité
politique de l’Europe comme une condition préalable à la formation d’une
communauté atlantique », et ne voyaient « ... qu’une solution à la
réalisation de l’unité européenne, des institutions fédérales
supranationales contrôlées par un Parlement européen ».
http://www.ina.fr/politique/politique-internationale/video/CAF97057440/conference-de-presse-du-president-kennedy-en-allemagne-de-l-ouest.fr.html