Comme l’explique M. Asselineau dans ses conférences, avec la sortie de l’Europe et de l’euro suivrait l’émission d’un franc nouveau, évalué à hauteur de l’euro dans un premier temps, puis réajusté en fonction de l’économie internationale au besoin. Je ne pense pas que M. Asselineau puisse peser assez lourdement sur l’économie pour abandonner le système d’usure, mais cette question deviendra évidemment centrale en cas de sortie de l’Union Européenne. Je ne suis personnellement pas un expert dans ce domaine, je laisse donc cette question aux personnes compétentes. Néanmoins il faut garder à l’esprit que l’UPR est un parti de rassemblement et que les personnes qui le compose viennent d’horizons très divers. Ce qui implique (sous réserve que ce mouvement puisse un jour émerger réellement) qu’il s’autodétruira une fois au pouvoir, puisque les sensibilités gauche/droite ressortiront dès lors. Le but premier atteint - la sortie de l’Union, de l’euro et de l’OTAN - l’UPR n’aura plus de raison d’être.
Le sympathisant lambda pour FA suggère volontiers ou
souhaite un rapprochement entre résistants contre l’UMPS. C’est légitime, mais sur quelles idées communes, quels
paradigmes économiques ?
Votre question est elle aussi légitime, mais il s’agit d’un sujet clivant. Or l’immédiateté de la situation impose de revenir à ce qui nous unit, ce pourquoi M. Asselineau propose de se servir du programme du CNR comme base de reconstruction du pays. Le reste suivra naturellement...