@ innsa :
 A propos de la consommation d’OGM par les animaux d’élevage, les consommateurs n’en veulent pas et le disent. La commission Européene et nos décideurs ne l’entendent pas : des règlements ont sans doute entravé les initiatives des super—marchés (Super-U, Auchan, Carrefour) qui à la suite des travaux de Sérralini avaient placé sur leurs présentoirs de produits d’origine animale, les mentions, bien visibles, en jaune, "animaux élevés sans OGM" (pour les oeufs : provenant de poules élevées sans OGM).
 C’était très bien : on avait là, enfin, un référendum le plus vrai et naturel qu’il soit.
 Ce classement et ces panneaux indicatifs ont disparu le 3ème mois. Pourquoi ? Silence total sur ce sujet.

 Le problème que pose l’autorisation de l’abattage rituel c’est la dérogation à l’abattage règlementaire prévu par notre République et qui intègre, autant que faire se peut, la non souffrance de l’animal. Il faut reconnaître que c’est l’abattage casher qui a ouvert la brèche et qui a fait accepter la situation actuelle ingérable et conflictuelle.
 Rien de plus simple que de stopper ces méthodes archaïques : il suffit de les interdire et de revenir aux méthodes réglementaires : Une République et la même loi pour tous.

 Pour les OGM il faut réclamer le retour de ces panneaux indicatifs, ce sera un grand pas de fait vers leur éradication par un choix populaire, tout ce qu’il y a de plus naturel.