"...c’est donc la composition ethnique de ces villes qui les ont mise en banqueroute ..."
On peut pas dire ça, puisque j’ai écrit noir sur blanc, que c’est une inexplicable coïncidence. D’ailleurs, au Texas par exemple, les WASP et assimilés ne sont plus que 29 % à Dallas, 27 % à San Antonio, 26 % à Houston, et je n’ai pas entendu parler de perspectives de faillite.
Ce qui, au demeurant, ne démontre rien ni dans un sens ni dans un autre. Il se peut tout aussi qu’elles soient prospères, en particulier grâce au pétrole, ou qu’elles roulent déjà sur la jante...
D’un autre côté, il existe une étude canadienne qui constate que les vagues d’immigration enregistrées au cours des trente dernières années, se révèlent "économiquement moins performantes" que celles d’autrefois.
Mais ce n’est que depuis quelques années seulement qu’on ose s’attaquer à des tentatives d’explications à propos de la richesse ou de la pauvreté des peuples, de leur croissance ou de leur stagnation, de leur proactivité ou de leur fatalisme, avec des livres comme ""De l’inégalité parmi les sociétés", de Jared Diamond, "Richesse et pauvreté des nations" ; de David Landes, "Farewell to Alms", de Gregory Clark, "Q.I. et richesse des nations", de Richard Lynn et Tatu Vanhanen, "Négrologie", de Stephen Smith, d’autres en anglais, certainement, les éditeurs français n’étant pas friands de titres systématiquement boycottés par la presse politiquement correcte...