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Derrière les jeux de cocker triste de M. Finkielkraut, il faut réfléchir.

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En apparence, tout va bien. Il veut le retour de la France, sa culture toussa.

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Mais en réalité, s’il pensait ce qu’il disait, il se demanderait s’il n’est pas lui-même directement impliqué dans cette dégradation qu’il dénonce. Comment ne voit-il pas en effet comme son incroyable présence comme enseignant de littérature à la crème de la Nation, l’école Polytechnique, lui l’ashkénaze haineux de la France et de sa culture n’a pas une grande part dans la nullité des élites qu’il a lui-même for(mat)er et à qui il reproche précisément leur nullité ?

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Le jour où M Finkielkraut se couvrira de cendres, ira embrasser Madame Le Pen sur la bouche en s’excusant, ira demander à genoux pardon au Pape pour ses mauvaises pensées antichrétiennes, nous le croirons. Pour l’instant, ce qu’il dit ne sont que des mots de vieil acteur qui ne veut pas quitter la scène. C’est du pilpoul et rien d’autre.