Certes, le rasoir Barbier n’est pas un loup mais plutôt une tique ou une gale. Cependant, grâce à Dieudonné, il ne peut s’empêcher d’apparaître pour ce qu’il est : un sale petit collaborateur vicieux, un de ces nuisibles sans lesquels aucune dictature ne serait possible, un minable petit assistant du pouvoir totalitaire, lyncheur des faibles et lécheur de semelles de ses maîtres. 

Et c’est la même chose pour Valls, qui se montre sous son vrai jour : un serviteur de clan éructant sa haine avec sottise, sans aucun sens de la République. 

Le président pâte molle se montre dans toute sa splendeur aussi : une marionnette en papier mâché sans colonne vertébrale, un trouillard sans doute psychologiquement castré d’abord par sa mère puis par ses épouses, totalement dépassé par sa fonction. 

Voilà où nous en sommes. 

Et cela peut de moins en moins se camoufler.