"...Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem voient tout leur plan com’..."
Un de leurs problèmes, à tous les deux, c’est qu’ils ne sont pas nés le 24 janvier,. au soir de la première Journée de retrait de l’école. C’est en 2008 que Peillon a publié "La révolution française n’est pas terminée", manifeste obscène du fanatisme néo-théophilanthropique, où l’on peut lire : "...l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. »
Et, dans une interview au Journal du dimanche, du 1er septembre 2012, Veillon précisait ce qui lui tient lieu de pensée : "...il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel, pour après faire un choix." Y compris, si les mots ont un sens, de son "genre" !
Quelqu’un a écrit "plus con, tu meurs", à propos de "noirs complots" ?
On rêve d’un débat télévisé entre Mme Ludivine de la Rochère et Peillon. Il devrait nourrir la verve des "Deux camarades d’abord"...