Si la théorie du genre a pour objectif l’éradication du mâle, je dirais qu’elle arrive un peu tard, car ça fait 30 ans que c’est fait. La femelle porte depuis bien longtemps la culotte du couple, et son guguss n’est devenu que l’esclave à se taper toute la merde ingrate et le souffre-douleur quand les affaires tournent mal. Madame n’a plus qu’à écarter les cuisses de temps à autres et ira se taper un vrai mec quand fiotasse sera au turbin. Au pire elle projettera l’ombre du purgatoire juridique qui attend le renégat s’il osait se rebeller, entre la machine à payer la pension qu’il deviendrait (quand ce ne fut pas les prestations compensatoires) et la distance qu’elle placerait entre lui et ses gamins, par l’octroi d’un généreux droit de visite de 2 WE/mois. Les plus machiavéliques n’hésiteront à entrer dans cette logique qui consiste à faire de la provocation sournoise pour se prendre 2 torgnoles pour s’ouvrir un boulevard. Un système bien verrouillé où fiotasse n’a qu’à bien se tenir (entendre bien ramper). Très cher pour ses 3 cm3 de temps à autres, beaucoup plus cher ne lui couterait une pute de luxe (mais ça dans les premiers feux de l’amour il ne le sait pas encore).
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ça fait longtemps que je vois ça autour de moi, et je suis passé progressivement de l’envie de gerber à l’indifférence, pour finalement en arriver à féliciter le genre féminin. Après tout si les mecs sont vraiment des fiottes, pourquoi n’en profiteraient-elles pas ? Mais le mec pourrait encore se souvenir qu’il en est un. Donc à mon avis, le genre est fait pour lui faire définitivement oublier ce qu’il est. Une camisole chimique en quelque sorte. Et je pense que ça va marcher, simple question de temps. Le mâle s’est pris une quenelle de 180 en une génération, il s’en prendra aussi facilement une autre qui suit de la même dimension.