Comme toujours, le mot antisémitisme est employé dans un sens absurde qu’on nous interdit de mettre en cause. Le fait est que les Palestiniens sont sémites, pas les juifs ashkénazes (vérifiez si vous ne me croyez pas, ce n’est pas difficile sur Internet, si vous n’avez pas de connaissances solides déjà établies sur le sujet par vos études). Les antisémtites sont anti... sémites ! Donc ils se sentent hostiles aux.. sémites. What else ? Comment peut-on donner un autre sens à un mot dont la construction est si évidente ?
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Un antisémite sera haineux ou méfiants à l’encontre des populations sémites, donc il n’aimera ni les juifs arabes ni les musulmans arabes, ni les athées arabes. Il n’aimera pas le type arabe.
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Un judéophobe, en revanche, sera hostile à celui qui pratique la religion juive ou s’en réclame culturellement, il n’aimera donc aucun juif quelle que soit son type (arabe, caucasien, pourquoi pas asiatique, etc.)
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On emploie donc souvent le terme antisémite pour désigner ce qui est en réalité un judéophobe. Cette substitution persistante est une falsification, dont le but est de nous faire croire qu’il existe une race juive. Croyance délirante qui n’est défendue que par les adeptes des théories de la suprématie raciale (qui croient à une "race d’élus"), qu’ils soient du genre nazi ou du genre sioniste.
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En acceptant d’utiliser le mot antisémite dans ce sens frauduleux, chacun de nous accepte d’adhérer à la théorie suprématiste nazie ou sioniste. Et chacun ainsi renonce à un usage rationnel et humaniste du langage. Il est impossible de trouver un accord avec des mots volontairement corrompus par une idéologie qui vous aliène d’emblée à son délire. Refusez d’utiliser ce terme, car si vous l’utilisez, tout ce que vous direz sera faux et insensé.