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Commentaire de darion ben gourvid

sur Mondes intérieurs, Mondes extérieurs


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darion ben gourvid 26 avril 2014 17:30

Pour expliquer la non-localité et la connexion intime et ultime, du tout dans le tout, il est intéressant de se rappeler qu’au moment de la singularité initiale du Big Bang, l’entièreté de la matière se trouvait contenue dans quelque chose de plus petit qu’une tête d’épingle...

Le moment de cette singularité puis de l’expansion post-Big Bang de toutes ces particules, celles qui nous composent également, comme celles qui composent les lointaines étoiles, peut être comparé à un filet de pécheur jeté depuis une barque : compact au début, il est jeté (ce geste est un thème classique de l’imagerie et de la peinture asiatique d’ailleurs) et s’étend dans plusieurs directions en maintenant tous les noeuds interconnectés. Les expériences de la non-localité à laquelle ne croyait pas Einstein (expérience EPR contre l’interprétation de Copenhague) montre bien qu’il y a quelque chose qui nous a échappé...


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