Si le chemin a son importance, la destination compte aussi et peut-être plus.
Marx porte une sorte de germe techno-scientiste qui fragmente le réel, le compartimente, l’hyper-spécialise (il a lu Descartes et d’autres)... et qui au final se retrouve exactement du même côté que les matérialo-capitalistes qui ont comme exaltation déplacée -peut-être pour pallier à la Mort de Dieu-, de produire, produire, toujours produire...
La vraie ambition des acharnés "anti-capitalistes" doit être l’abolition de la production et paradoxalement la réintroduction d’un Dieu qui ne peut-être que bienfaisant, plus doux, plus proche de la Nature, que le totalitarisme marchand et l’esclavage matérialiste actuel.