On n’aura aucun problème à entrainer derrière nous l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Grèce. Les autres auront deux options : suivre un mouvement vraiment démocratique ou afficher au grand jour le mépris du peuple.
Ca c’est la manière de négocier avec le nouvel ordre mondial, les oligarques, les profiteurs (appelez-les comme vous voulez)... Il n’y a que comme ça qu’on négocie avec eux : on fait ce qu’ils nous ont toujours fait : on les met dos au mur.