Ce qu’ils savent n’a aucune importance et ce qu’ils représente est superficiel, sexe, couleur de peau, mais n’est pas légitime car il ne s’agit pas de catégories politiques mais de catégories sociologiques. Les femmes ne sont pas ségolènistes, les homos ne sont pas delanoïens, les beurs ne sont pas dattistes, les asiatiques ne sont pas pélerinistes et ils ne peuvent d’ailleurs pas l’être car tous ces "courants de pensée" sont inconsistants. C’est du show business qui se fracasse sur la réalité dès qu’on tombe sur un sujet qui requière des compétences que les éléments de langages de leurs nègres (au sens littéraire) ne sont pas capables de leur fournir.

Ce sont les nouveaux apparatchiks du système choisis, pour leur insignifiance.

Etant dans l’enseignement supérieur, j’ai vu les vagues de promotions successives en fonction des modes du moment : Directrice féministe, directeur homo, directeur "issu de la diversité". Tous avaient un logiciel unique : le mépris pour le "mâle blanc hétérosexuel". Et tous se contentaient d’occuper leur bureau, de sous traiter leur taf, mais n’apportaient aucune plus value intellectuelle. Par contre ils n’était plus question de valoriser les résultats parfois de retentissement international des "mâles blancs hétérosexuels", mais au contraire de s’en prévaloir et de faire croire que c’était le fruit de cette nouvelle diversité. Ce qui a démotivé évidemment tous les gens de qualité. 

En quelques années l’établissement, autrefois de réputation internationale sombre dans la médiocrité et comme en plus cette gestion calamiteuse s’accompagne de frais somptuaires, dans le déficit.

Comme c’est une idéologie, au lieu de supprimer les postes accessoires comme le plétorique département communication, on surcharge les classes, on augmente les frais de scolarité et on diminue les heures d’enseignement.

Tout en continuant à communiquer sur "l’excellence".

Sauf que les élèves se barrent avant la fin des cursus...