L’idée principale n’est pas que "le libéralisme c’est l’esclavage", mais que le libéralisme est le système le plus juste, car chacun en privilégiant ses intérêts individuels travaillent pour le bien de tous.

Car opposer vainement socialisme et libéralisme en 2014 (et en diabolisant le "marxisme" dont quelques outils sont pourtant utiles) illustre surtout la pauvreté de l’auteur et son retard idéologique sur l’ordre mondial actuel.
La gauche du capital existe, c’est d’ailleurs le titre d’un livre et le sujet d’une conférence que je tente de poster mais qui ne passera pas la modération à cause d’un ou deux abrutis car je suis tricard.

Mais l’ordre actuel est justement un hybride que l’on peut appeler le socialo-libéralisme : des technostructures socialisantes non-élues (OMC, FMI, Banque Mondiale, UE...) au service -ou préemptées- par les multinationales et le système financier.

Bref, le libéral/libertaire ou le souverainiste/anti-mondialisme sont des clés de lecture bien plus efficientes que le pauvre gauche/droite-socialisme/libéralisme de Jean Robin (comme si Hollande, Macron ou Laurence Boone étaient socialistes )...