Oui je fais personnellement une hiérarchie morale entre les
civilisations humaines en fonction de leur attitude vis à vis des
animaux en règle générale, et du chien en particulier.
—> Il n’y a rien qui soit supérieur à L’Islam. Seul un ignorant pourrait prétendre une chose pareil.
Il n’y a pas plus respectueux des animaux que l’Islam. Je viens de corriger Mr Vernochet de cette erreur sur les chiens dans mon commentaire précédent. (je sais pas d’ou il sort ça du Coran d’ailleurs)
Quelques preuves :
Sur les chiens :
« Alors
qu’un homme cheminait, il fut pris d’une grande soif. Il trouva un
puits dans lequel il descendit et but. Quand il en sortit, il vit un
chien haletant qui mangeait de la boue sous l’effet de la soif. L’homme
se dit : « Ce chien est en proie à une soif semblable à celle que je
viens d’éprouver il y a peu. » Il descendit alors dans le puits et
remplit d’eau sa chaussure qu’il tint entre ses dents jusqu’à ce qu’il
se hissât en dehors du puits. Ainsi, il donna à boire au chien. Dieu lui
en fut reconnaissant de sorte qu’il lui pardonna, et le fit entrer au
paradis. » Les compagnons du Prophète lui demandèrent (surpris) : « Ô Messager de Dieu, nous serions récompensés pour (avoir été compatissants envers) des animaux ? » Le Prophète dit : « Pour tout foie humide (c’est-à-dire tout être vivant), il y a une récompense. » (Al-Bukhârî, Muslim)
Sur les animaux en général :
« Une
femme a été tourmentée en enfer à cause d’une chatte qu’elle avait
enfermée jusqu’à ce qu’elle pérît. A cause de l’animal, elle entra en
enfer. Elle ne l’avait ni nourrie, ni abreuvée alors qu’elle l’avait
enfermée, ne lui laissant pas la possibilité de consommer ses proies. » (Al-Bukhârî, Muslim)
Un jour, des enfants avaient attaché un oiseau vivant en le prenant pour cible. Ibn ‘Umar, disciple du Prophète, s’exclama : « Le Prophète a maudit celui qui se sert comme cible de tout être vivant (attaché). » (Al-Bukhârî, Muslim)
Evoquons encore ces événements : « Nous étions en voyage. Nous vîmes alors un oiseau avec ses deux petits. Nous prîmes les oisillons et leur mère se mit à voler au-dessus de nos têtes. A ce moment arriva le Prophète qui
demanda : « Qui a fait de la peine à cet oiseau en lui prenant ses
petits ? Allez, rendez-lui ses enfants ! » (Abû Dâwûd)