Etienne Klein est venu à Rennes. Il faisait l’orateur. Mais j’étais mal en point à l’époque et n’aurait pas été suffisamment inspiré pour lui poser une question. Oui, on le droit de faire des remarques aux femmes et elles le demandent. Seulement la présentatrice des Champs Libres, qui croyait en ce mois d’Avril que les Champs Libres étaient gratuits, sans connaître la bulle spéculative sur les livres, La Poste, Orange, les industries pharmaceutiques, les femmes intuitives, les hommes paresseux, les militants heureux autrement, voulait qu’on soit ordonnés socialement pour poser des questions. Moi je n’aime pas les files d’attentes et j’ai enfin pu comprendre la signification du mot démon, utilisé en informatique, qui a évidemment incité beaucoup de questions sans que Lyndon Larouche soit cité. 4 chercheurs bullés ont pu être informés en ce mois d’Avril.

Pour les Champs Libres bibliothèque, habituée grâce à la cantine numérique rennaise à ne pas communiquer, afin que la cantine robotise les pauvres, pour que les zombies robotisés des ESN puissent mal copier à 100 000 € des logiciels libres biens faits à 0 €, même si pythonisés sur Rennes, pas sur Lyon, ni sur Aix en Provence, ni sur Nice, ni à Bruxelles, ni sur Nantes, ni à Alger (On discute du 8 mai 1968 algérien ce soir), de plus en plus javaisés sur Nantes, grâce à l’idiotie de nos directeurs, soutenus par le fanatisme des juges et prud-homos.

Cependant la cantine numérique rennaise compte sur le bénévolat payant des zombies informaticiens, pour buller sur la ville de Rennes, avec ses sophistes essayant de comprendre les enjeux du DTRA, que Granit a diffusé il y a longtemps, en 2008 sans doute.

Sodifrance a su buller sur les directeurs, tout Mia Software.

Mon idiot et historien libéral a voulu buller sur moi chez Microcelt, ce qui m’a permis de constater l’ampleur du désastre socialo-robotisé de Cap Gemini, à comparer avec l’auto-destruction socialo-robotisée programmée de CEGID et de ses clients.