@berphi
Je répondais à la deuxième partie de votre commentaire adressé à Nigari.

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Le retour des bateau pose problème à plus d’un titre :

- Ils pourraient simplement saboter leurs moteurs... le carburant devenant inutile.

- Si jamais les marines Européennes devaient raccompagner les bateaux... quelle serait la destination ?

Les pays du Maghreb pourraient refuser légitimement d’accueillir ces gens qui seraient également dans l’illégalité de l’autre côté de la Méditerranée. Et puis on peut pas imposer aux autres ce que l’on ne veut pas subir nous-même.

La seule solution raisonnable c’est que c’est bateaux ne partent pas. La technique Australienne est radicale : si on est sûr de ne pas arriver..on ne part pas.

L’autre plus diplomatique est une concertation et une coopération avec les pays de l’autre côté de la Méditerranée. Mais ça c’était le monde avant la destruction de la Libye.

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Pour ce qui est de la coopérations des états membres de l’UE, elle est certaine, au moins partiellement.

Par contre, il n’est nul besoin de l’aval ou de la supervision du gouvernement pour distribuer des flyers ultra-précis... les ONG s’en chargent très bien.