Benjamin Franklin, homme d’état américain et dignitaire de la
franc-maçonnerie (1706-1790), perçut clairement et prédit avec précision, au 18e siècle, la mise en œuvre du Nouvel Ordre Mondial
talmudique :
« Je
suis en parfait accord avec le général Washington en ce que nous devons
protéger notre jeune nation [les Etats-Unis] contre une influence et une
pénétration insidieuses. La menace, messieurs, ce sont les Juifs. Dans quelque
pays que ce soit où les Juifs se sont incrustés en grand nombre, ils y ont
abaissé le niveau moral ; déprécié son intégrité commerciale ; se
sont isolés et n’ont pas été assimilés ; se sont moqués de la religion
chrétienne sur laquelle se fonde notre pays et ont essayé de la saper en
s’objectant à ses restrictions ; ils ont construit un état dans
l’État ; et, lorsque confrontés, ont tenté d’étrangler financièrement le
pays à mort, comme ce fut le cas pour l’Espagne et le Portugal.
« Pendant
plus de 1 700 ans, les Juifs se sont lamentés de leur mauvais sort en ce
qu’ils furent exilés de leur patrie, comme ils appellent la Palestine. Mais,
messieurs, le monde le leur donnerait-il sur simples honoraires qu’ils
trouveraient immédiatement une raison de ne pas y retourner. Pourquoi ?
Parce que ce sont des vampires, et que les vampires ne vivent pas de vampires.
Ils ne peuvent vivre seulement entre eux. Ils doivent subsister sur le dos des
chrétiens et des autres nations qui ne sont pas de leur race.
« Si
vous ne les écartez pas des Etats-Unis, de par leur Constitution, en moins de
200 ans, ils vont essaimer ici en si grand nombre qu’ils vont dominer et
dévorer le pays et changer la forme de notre gouvernement pour lequel nous, les
Américains, avons répandu notre sang, donné nos vies, nos biens et mis en jeu
notre liberté.
« Si vous ne les écartez pas, en moins de 200 ans, nos descendants travailleront dans les champs
pour leur fournir des biens, pendant qu’eux seront à se
frotter les mains dans les immeubles des comptables. Je vous avertis,
messieurs, si vous n’écartez pas les Juifs pour toujours, vos enfants vous
maudiront sur vos tombes.
« Les
Juifs, messieurs, sont des Asiatiques ; laissez-les naître où ils voudront
et, durant même des générations en dehors de l’Asie, ils ne seront jamais autre
chose. Leurs idées ne se conforment pas à celles des Américains et ne le feront
pas, quand bien même ils vivraient parmi nous dix générations. Un léopard ne
peut changer ses taches. Les Juifs sont des Asiatiques et sont une menace pour
notre pays si nous leur en permettons l’entrée ; ils doivent être exclus
par ce Congrès constitutionnel. »
[Déclaration faite lors d’un « Bavardage autour de la table
durant l’intermission », au Congrès Constitutionnel de Philadelphie de
1787. Cette déclaration fut enregistrée dans le journal de Charles Cotesworth Pinckney,
délégué de la Caroline du Sud