La partie sur le rôle des médias de 50 : 00 à 1 :06 :00 est tout simplement savoureuse (avec mention
spéciale pour l’intervention d’Onana à 56 :00). Et c’est comme ça dans chaque traitement journalistique d’une
crise internationale, on l’a vu dernièrement pour la Libye et on le voit depuis
des années pour la Syrie.
Mais je n’ai jamais vu un traitement à sens unique aussi
intense que pour la crise post électorale ivoirienne. Habituellement , les
journalistes mélangent beaucoup de faux avec un peu de vrai. Pour la cote d’ivoire
non. Absolument tout était faux. C’est simple, quand les médias disaient une chose, pour taper
juste il fallait penser systématiquement le contraire, c’était terrifiant.