@berry
D’après ce que je vois, j’ai un gros doute sur le
commentaire qui accompagne votre vidéo. J’ai du mal à en savoir davantage, si
je mets le titre de votre article sur google en recherche, je ne trouve rien de
plus...
------> Avoir des doutes n’est pas un
problème. On peut douter de tout, on peut même douter de notre propre existence.
Mais à un moment donné, il faut prendre acte des faits (vous connaissez
certainement la signification de l’expression « prendre acte » , ce n’est
pas contradictoire avec le fait de douter). Si on ne peut pas prendre acte des
faits collectivement, aucune discussion
n’est possible. Vous avez des impressions, moi aussi j’ai les miennes mais nos impressions respectives doivent être laissées
de coté sinon on ne peut pas avancer.
Est-ce que
vous avez une quelconque preuve que ce qui est arrivé à Bné Brak et qui
ressemble furieusement à ce qui est arrivé à Paris fin mai est faux ?
Si vous n’avez pas de preuves que cette information est fausse, il va falloir
en prendre acte. Dire que ce n’est pas possible physiquement n’est pas un contre
argument valide (quand bien même ce que vous dites est vrai, ce qui n’est pas certain
puisque de nombreuses personnes ne sont pas d’accord avec ça). Vous n’arriverez
pas non plus à m’expliquez scientifiquement comment un homme qui fait une chute
libre de 1500 mètres peut survivre. Et pourtant c’est arrivé. Je peux vous
trouver des centaines d’exemples comme ça que vous ne parviendrez pas à m’expliquer.
Ce n’est pas parce que vous ne saurez pas m’expliquer des faits improbables qu’ils sont impossibles.
Là c’est une
question de méthode : il est inutile d’aller plus loin si vous partez de
la pétition de principe que c’est impossible. Là on est en plein dans nos moutons parce que finalement , le vrai problème ici relève de la méthodologie.