@nobody_knows
La violence est une réalité que les gosses connaissent dans toutes les cours de récréation de France et de Navarre. Il ne s’agit pas de la nier. Ce que je dis c’est que ce genre de comportement n’existe pas au rugby où parfois on se met dessus parce que la tension est devenue paroxystique. Evoquer le rugby est en réalité la pire comparaison que l’on puisse faire car le principe de ce sport c’est l’esprit de corps. On ne se bat pas pour agresser l’autre mais pour défendre les siens. L’agressivité inhérente à ce sport de contact est positive. Les bagarres sur le terrain durent le temps de décharger le trop-plein d’agressivité mais très rarement au-delà. Une fois les mandales ont été échangées cela s’arrête et une fois le match fini, le fait d’avoir gagné ou perdu compte importe bien moins que le fait de s’être battu jusqu’au bout. 

Rien à voir avec ces deux tanches qui passent leur vie à se prendre en photo avec des flingues et à jouer les gros bras... tout ça pour finir à se mettre dessus à coups de flacons de parfum au milieu d’un public qui n’a pas demandé à assister à ce spectacle. Franchement, on dirait deux catins en train de se crêper le chignon sur un trottoir. Même les manifestants de la gaypride sont plus virils que ces deux déchets et leur bande de danseuses. Fracasser un type à 3 ou 10 contre un comme on le voit ici, c’est la chose la moins virile au monde mais c’est parfaitement cohérent chez eux : Le trip de ces danseuses c’est justement l’égo-trip d’un seul suivi par des dizaines de groupies qui n’ont ni esprit ni corps (c’est pour cela que se sont des suiveuses du reste). Dans ce cadre le groupe n’est pas un projet à défendre, c’est juste un bouclier derrière lequel ils se planquent précisément parce que considérés individuellement, ils n’existent pas. Ce comportement est l’archétype du fonctionnement de la racaille à savoir celui d’un sous-être, un "infra-humain" comme dirait d’autres.