Je ne comprends pas cette suspicion aux effluves malodorantes visant le poète engagé Francis Lalanne...

C’est une bénédiction pour ces gilets jaunes désorientés, hétéroclites, d’avoir un leader charismatique et une caution intellectuelle (QI de 80 maximum) comme Francis, c’est le canal cuissarde des gilets jaunes...

"Fais-moi l’amour, pas la guerre" grinçait-il naguère, chevelure abondante au vent sans jamais capituler aux sollicitations publicitaires de Schwartzkopf, ce qui pose la stature révolutionnaire de l’homme dont la fibre sociale s’éveille tous les quatre ans, à chaque coupe du monde, lorsqu’il se glisse sur la photo de l’équipe de France de football, ces joueurs nécessiteux qui peinent à boucler leurs fins de mois...

Glosez, glosez, les cordes vocales de Francis, tant raillées, formeront nœud coulant autour du cou des nantis exploiteurs, les "premiers de cordée" exhaleront un ultime sarcasme coupable avant de fermer boutique...

Les gueux martyrisés, humiliés, méprisés, mais enfin libérés, sauront célébrer le Grand Guide que nul ne voyait surgir sous la chape de quolibets...

Lalanne président, vite !