Je vais encore plus loin et propose le délit de pleurniche sociale...
Directement à Fresnes le mauvais coucheur incapable de reconnaître l’exceptionnelle générosité de l’Etat providence...la promiscuité des rats et des cafards, le contenu de la gamelle, le jeu de la savonnette et autres "loisirs" vont ouvrir les yeux du délinquant...
La libération conditionnelle sera accordée avec une injonction aux soins...il existe une infinité de molécules qui permettent d’améliorer le discernement et la perception de la réalité, le bonheur peut s’injecter en intraveineuse, je ne vois pas pourquoi il faudrait se priver de ce bénéfice thérapeutique...
Comment ? on ne peut pas jeter en prison des gens qui souffrent.. ?
Ben si, on peut, et au bout d’un moment ça devient un devoir, il faut soigner le mal par le mal, il convient de plonger le voyou au plus profond de la souffrance pour creuser un tunnel vers l’espoir, c’est le fameux théorème du socio-criminolo-psychologue Roger Tornhill dont les travaux font référence...
Outre la pleurniche sociale, peut-on dans le même élan réprimer d’autres formes de pleurniche.. ?
Bien évidemment non, puisque ces "autres formes" ne matérialisent pas un délit mais font au contraire partie du kit thérapeutique évoqué plus haut...il arrive que la logique mathématique s’applique au domaine de la santé mentale, c’est comme ça et puis c’est tout...