Pour ceux qui ne l’ont toujours pas compris, ce commentaire est ici un exemple d’invite à une pédagogie participative : le fond, l’onde/corpuscule (et non pas particule), dont parlent les 2 orateurs, c’est du lourd, du très lourd...ânonneurs abstenez vous SVP, ou faites de l’histoire seulement ; ça sera déjà TB

 !
Ici la critique est un "art", beaucoup plus, que quelque chose que l’on dit aujourd’hui de : professionnel ! C’est un questionnement de rshi (le mot sanskrit qui dit le mieux la chose), or le rshi est en contact avec l’invisible...
Que dit surtout mon intervention ?
Que ce parterre très sélectionné auquel ils s’adressent, il faut lui donner la parole, hors de toute démagogie évidemment, car la "Vérité" sur le sujet pourrait venir -tout au moins, dans ses premiers balbutiements— des auditeurs, davantage que de vieux ânonneurs

formatés par l’université depuis belle lurette, qui monopolisent la parole... et qui devraient se limiter ici à un rôle d’historien de la MQ (rôle

tout à fait estimable d’ailleurs).
Vaste programme, juste pour dire que, à ce niveau de réflexion, l’appel à l’acharya -celui qui enseigne par son exemple— s’impose.
"Mon" Lyceum du Kairos se propose bien sur, de suivre, entre autres, cette voie dès le début.

PS)
le respect "absolu" de la vocation de chacun est la pierre d’angle du Lyceum du Kairos

 : la distinction pertinente entre le svadharma et le svabhava que fait la MIA, nous dit qu’en des temps très reculés, c’est ce qu’enseignaient, en priorité, les vrais acharya

(puisque ce mot sanskrit, nous renvoie à la chose essentielle ici qu’est : le respect "absolu" de la vocation de chacun)