« S’il
n’y avait pas de plantes, nous n’existerions pas. »
Effectivement,
ou, tout du moins, pas sous notre forme actuelle.
Ecoutez Thomas
Henry Burgoyne : « Les hommes, comme les plantes, ont leurs époques de
germination, de croissance, de maturité et de déclin, et les races ne font
pas exception à cette loi universelle de changement. Seulement elles se meuvent
dans de plus grands cycles. Leur maximum de civilisation correspond à la saison
des fleurs du règne végétal ; puis elles viennent à graine et déclinent.
Mais dans le sol même de la race s’amasse la précieuse semence qui provient des fleurs,
et qui, gisant endormie, attend les conditions magnétiques et spirituelles
nécessaires à son glorieux épanouissement. »
Nos Racines