Je peux accorder des circonstances atténuantes à l’artisan qui utilise occasionnellement la hache...parfois on peut être précoce, on a pas le temps pour les salamalecs d’usage, et puis bon, on zigouille, ce n’est pas une parade nuptiale, hein, faut pas déconner...
En revanche, zéro pointé pour l’usage de l’arme à feu...c’est comme chanter en play-back ou bouffer du jambon sous cellophane...
C’est nul, il n’y a pas le corps-à-corps fatal, la danse macabre avec en fond musical les grelots de la grande faucheuse et le rictus mortifère sur la face de la proie qui composte son billet pour l’ultime voyage...
Tout se perd...